ISCCL Scientific Symposia and Annual General Meetings

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Recent Submissions

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    2022 Secretary General's Report
    Brabec, Elizabeth
    2022 Annual Report and 2023 Work Plan
  • Publication
    Looking Back Looking Forward: ISCCL 50th Anniversary Symposium, Abstracts and Presentations
    Brabec, Elizabeth; Adams, Betina; Laleh, Haeedeh
    During the past 50 years, the ISCCL has experienced great shifts in an understanding of cultural landscapes, the approaches to their conservation and protection, and the foundational concept of cultural landscapes themselves. The starting point was in 1971, in a meeting of Fontainebleau, where M. René Pechère led an international group of historic garden landscape architects and other professionals in the creation of a joint ICOMOS / IFLA Committee of Historic Gardens and Sites. While the focus of the original Committee was on classical gardens and their maintenance and protection, this was an important first step in the understanding of broader landscape issues. The Florence Charter on Historic Gardens was adopted by ICOMOS in 1982. It was ground breaking for the time, defining historic gardens as “monuments,” subject to specific rules acknowledging the “growth and decay” of a living system. However, the Charter also identified the need to preserve gardens in an “unchanged condition.” By 1992, the concept and definitions of Historic Gardens had expanded to the term “Cultural Landscapes,” approved for inclusion in the World Heritage Operational Guidelines at its 16th Session in 1992. By identifying cultural landscapes as “illustrative of the evolution of human society and settlement over time,” and “the combined works of nature and of man [sic]” the stage was set for the following period of inclusion of traditional and indigenous landscapes, and the nature culture dialogues, intended to integrate the identification, protection and management of natural and cultural heritage sites. This Symposium will explore those changes and more over the past 50 years in the world of cultural landscapes. Français: Au cours des 50 dernières années, le Comité a connu de grands changements dans la compréhension des paysages culturels, les approches de leur conservation et de leur protection, et le concept fondamental des paysages culturels eux-mêmes. Le point de départ fut en 1971, lors d’une réunion de Fontainebleau, où M. René Pechère dirigea un groupe international d’architectes paysagistes de jardins historiques et d’autres professionnels dans la création d’un Comité conjoint ICOMOS / IFLA des Jardins et Sites Historiques. Alors que le comité d’origine se concentrait sur les jardins classiques, leur entretien et leur protection, il s’agissait d’une première étape importante dans la compréhension des problèmes de paysage plus larges. La Charte de Florence sur les jardins historiques a été adoptée par l’ICOMOS en 1982. Elle était révolutionnaire pour l’époque, définissant les jardins historiques comme des « monuments », soumis à des règles spécifiques reconnaissant la « croissance et la décadence » d’un système vivant. Cependant, la Charte a également identifié la nécessité de préserver les jardins dans un « état inchangé ». En 1992, le concept et les définitions des jardins historiques s’étaient étendus au terme « paysages culturels », approuvé pour inclusion dans les Orientations du patrimoine mondial lors de sa 16e session en 1992. En identifiant les paysages culturels comme « illustrant l’évolution de la société humaine et peuplement au fil du temps » et « les oeuvres combinées de la nature et de l’homme [sic] », le décor était planté pour la période suivante d’inclusion des paysages traditionnels et indigènes, et les dialogues nature-culture, destinés à intégrer l’identification, la protection et la gestion de sites du patrimoine naturel et culturel. Ce symposium explorera ces changements et bien d’autres au cours des 50 dernières années dans le monde des paysages culturels. Espagnol: Durante los últimos 50 años, el Comité ha experimentado grandes cambios en la comprensión de los paisajes culturales, los enfoques para su conservación y protección, y el concepto fundamental de los paisajes culturales mismos. El punto de partida fue en 1971, en una reunión de Fontainebleau, donde M. René Pechère dirigió un grupo internacional de arquitectos paisajistas de jardines históricos y otros profesionales en la creación de un Comité conjunto ICOMOS / IFLA de Jardines y Sitios Históricos. Si bien el enfoque del Comité original estaba en los jardines clásicos y su mantenimiento y protección, este fue un primer paso importante en la comprensión de los problemas más amplios del paisaje. La Carta de Florencia sobre Jardines Históricos fue adoptada por ICOMOS en 1982. Fue innovadora para la época, definiendo los jardines históricos como “monumentos”, sujetos a reglas específicas que reconocen el “crecimiento y decadencia” de un sistema vivo. Sin embargo, la Carta también identificó la necesidad de preservar los jardines en una “condición inalterable”. Para 1992, el concepto y las definiciones de Jardines Históricos se habían expandido al término “Paisajes Culturales”, aprobado para su inclusión en las Directrices Operativas del Patrimonio Mundial en su 16ª Sesión en 1992. Al identificar los paisajes culturales como “ilustrativos de la evolución de la sociedad humana y asentamiento a lo largo del tiempo”, y “las obras combinadas de la naturaleza y del hombre [sic]”, se preparó el escenario para el siguiente período de inclusión de los paisajes tradicionales e indígenas, y los diálogos naturaleza-cultura, destinados a integrar la identificación, protección y gestión de los sitios del patrimonio natural y cultural. Este Simposio explorará esos cambios y más en los últimos 50 años en el mundo de los paisajes culturales.
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    Walkerton Hydroelectric Generating Station - a relict industrial landscape in Ontario, Canada
    Evans, Doug
    Canada is littered with relic industrial/ cultural landscapes that are mostly unrecognised, undesignated and forgotten. The early 20th century hydroelectric generating station south of the small town of Walkerton on the Saugeen River in Bruce County, Ontario is one such landscape. The Walkerton hydro-power site can be recognised as a cultural-industrial landscape, namely: 1) it is a designed landscape, with features including the dam and headrace canal; 2) it is an evolved relic landscape, where the industrial and socio-economic activities of generating hydroelectric power have come to an end; and 3) it is an associative cultural landscape, where the landscape is important due to the powerful associations the site has with the development of hydroelectric power generation in Ontario, and with the natural elements. However, the site has never been studied or surveyed and is not on any archaeological register or any other form of heritage list, and the concrete structures on the site are deteriorating. The province of Ontario has a land area of over 1million square kilometres and a population of over 14 million people and was an early pioneer in the development of hydro electric power. And yet, there are only 9 historic power generation sites in Ontario designated as heritage places with legal protection under provincial heritage legislation. The presentation will describe a brief history of the site, show how it can be identified as a cultural-industrial landscape, and argue for its protection. _____________________ Français Le Canada est jonché de paysages industriels/culturels reliques qui sont pour la plupart méconnus, non désignés et oubliés. La centrale hydroélectrique du début du 20e siècle au sud de la petite ville de Walkerton sur la rivière Saugeen dans le comté de Bruce, en Ontario, est l'un de ces paysages. Le site hydroélectrique de Walkerton peut être reconnu comme un paysage culturel et industriel, à savoir : 1) il s'agit d'un paysage conçu, avec des caractéristiques telles que le barrage et le canal d'amenée; 2) c'est un paysage relique évolué, où les activités industrielles et socio-économiques de production d'énergie hydroélectrique ont pris fin ; et 3) il s'agit d'un paysage culturel associatif, où le paysage est important en raison des puissantes associations que le site entretient avec le développement de la production d'énergie hydroélectrique en Ontario et avec les éléments naturels. Cependant, le site n'a jamais été étudié ni sondé et ne figure sur aucun registre archéologique ni aucune autre forme de liste patrimoniale, et les structures en béton du site se détériorent. La province de l'Ontario a une superficie de plus d'un million de kilomètres carrés et une population de plus de 14 millions d'habitants et a été l'un des premiers pionniers du développement de l'énergie hydroélectrique. Et pourtant, il n'y a que 9 sites historiques de production d'électricité en Ontario désignés comme lieux patrimoniaux bénéficiant d'une protection juridique en vertu de la législation provinciale sur le patrimoine. La présentation décrira un bref historique du site, montrera comment il peut être identifié en tant que paysage culturel et industriel et plaidera pour sa protection. ___________________________ Español Canadá está lleno de reliquias de paisajes industriales/culturales que en su mayoría no son reconocidos, no designados y olvidados. La estación de generación hidroeléctrica de principios del siglo XX al sur de la pequeña ciudad de Walkerton en el río Saugeen en el condado de Bruce, Ontario, es uno de esos paisajes. El sitio de energía hidroeléctrica de Walkerton puede reconocerse como un paisaje industrial cultural, a saber: 1) es un paisaje diseñado, con características que incluyen la presa y el canal de conducción; 2) es un paisaje reliquia evolucionado, donde las actividades industriales y socioeconómicas de generación de energía hidroeléctrica han llegado a su fin; y 3) es un paisaje cultural asociativo, donde el paisaje es importante debido a las poderosas asociaciones que tiene el sitio con el desarrollo de la generación de energía hidroeléctrica en Ontario y con los elementos naturales. Sin embargo, el sitio nunca ha sido estudiado o inspeccionado y no está en ningún registro arqueológico ni en ninguna otra forma de lista patrimonial, y las estructuras de concreto en el sitio se están deteriorando. La provincia de Ontario tiene una superficie de más de 1 millón de kilómetros cuadrados y una población de más de 14 millones de personas y fue pionera en el desarrollo de la energía hidroeléctrica. Y, sin embargo, solo hay 9 sitios históricos de generación de energía en Ontario designados como lugares patrimoniales con protección legal bajo la legislación patrimonial provincial. La presentación describirá una breve historia del sitio, mostrará cómo se puede identificar como un paisaje cultural-industrial y abogará por su protección.
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    Caribbean Port City Capitals as Cultural Landscapes
    Green, Pat
    The coastal locations of Caribbean port cities are distinct cultural landscapes in settings around safe harbours sheltered by hillocks containing vital elements of historic urban landscapes. The United Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation (UNESCO) recommended in 2011 the idea of the Historic Urban Landscape (HUL) as a tool to integrate policies and practices of conservation of the built environment into the wider goals of urban development. Green, Robinson and Morgan (2013) caution that some efforts by the business community to regenerate port cities have limited the holistic nature of downtown to economic and physical enhancement leaving out the critical human /social /community components. Using the geo-political definition of Small Island Developing States (SIDS) the paper explores how Caribbean cities have extreme vulnerability under heightened threat of climate change. Additionally, as Barnett (2011) suggests that successful cities almost always grew up on rivers and harbours because large quantities of goods were moved most effectively by water, their growth spurred on by especially good location, energetic leadership, or abundant resources. The presentation explores how Caribbean port cites gained prominence under colonial plantation trade with the movement of goods and people through enslavement trafficking. This presentation argues that the communities representing diverse history bring value to any conservation effort of the Caribbean urban cultural landscape. Further, that Caribbean HUL should become centres of cultural heritage tourism, and where possible elaborated as creative cities. Exclusion of the community would negate the fundamental principles laid out in the various UNSDGs and their value to SIDS. In conclusion, this presentation puts forward that Caribbean cities should be designated regional cultural landscapes with a HUL of Caribbean creole and vernacular architecture, ‘Caribbean Wooden Treasures” (van Oers & Haraguchi 2005), including associative values as Sites of Memory. This cultural landscape is underrepresented globally. Français: Les emplacements côtiers des villes portuaires des Caraïbes sont des paysages culturels distincts dans des environnements autour de ports sûrs abrités par des collines contenant des éléments vitaux de paysages urbains historiques. L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a recommandé en 2011 l'idée du paysage urbain historique (HUL) comme outil pour intégrer les politiques et pratiques de conservation de l'environnement bâti dans les objectifs plus larges du développement urbain. Green, Robinson et Morgan (2013) préviennent que certains efforts déployés par la communauté des affaires pour régénérer les villes portuaires ont limité la nature holistique du centre-ville à une amélioration économique et physique, laissant de côté les composantes humaines/sociales/communautaires essentielles. En utilisant la définition géopolitique des petits États insulaires en développement (PEID), l'article explore la vulnérabilité extrême des villes des Caraïbes face à la menace accrue du changement climatique. De plus, comme Barnett (2011) le suggère, les villes prospères se sont presque toujours développées sur les rivières et les ports parce que de grandes quantités de marchandises étaient transportées plus efficacement par l'eau, leur croissance stimulée par un emplacement particulièrement bon, un leadership énergique ou des ressources abondantes. La présentation explore comment les villes portuaires des Caraïbes ont pris de l'importance sous le commerce des plantations coloniales avec le mouvement des biens et des personnes par le biais du trafic d'esclavage. Cette présentation soutient que les communautés représentant une histoire diversifiée apportent de la valeur à tout effort de conservation du paysage culturel urbain des Caraïbes. En outre, que les HUL des Caraïbes devraient devenir des centres de tourisme du patrimoine culturel et, si possible, élaborés en tant que villes créatives. L'exclusion de la communauté nierait les principes fondamentaux énoncés dans les divers UNSDG et leur valeur pour les PEID. En conclusion, cette présentation propose que les villes caribéennes soient désignées paysages culturels régionaux avec une HUL d'architecture créole et vernaculaire caribéenne, « Caribbean Wooden Treasures » (van Oers & Haraguchi 2005), incluant des valeurs associatives comme Sites de mémoire. Ce paysage culturel est sous-représenté à l'échelle mondiale. Español: Las ubicaciones costeras de las ciudades portuarias del Caribe son paisajes culturales distintivos en entornos alrededor de puertos seguros protegidos por montículos que contienen elementos vitales de los paisajes urbanos históricos. La Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO) recomendó en 2011 la idea del Paisaje Urbano Histórico (HUL) como una herramienta para integrar políticas y prácticas de conservación del entorno construido en los objetivos más amplios del desarrollo urbano. Green, Robinson y Morgan (2013) advierten que algunos esfuerzos de la comunidad empresarial para regenerar las ciudades portuarias han limitado la naturaleza holística del centro de la ciudad a la mejora económica y física dejando de lado los componentes críticos humanos/sociales/comunitarios. Usando la definición geopolítica de los Pequeños Estados Insulares en Desarrollo (SIDS), el documento explora cómo las ciudades del Caribe tienen una vulnerabilidad extrema bajo la mayor amenaza del cambio climático. Además, como sugiere Barnett (2011), las ciudades exitosas casi siempre crecieron en ríos y puertos porque grandes cantidades de bienes se movían de manera más efectiva por el agua, y su crecimiento fue impulsado por una ubicación especialmente buena, un liderazgo enérgico o abundantes recursos. La presentación explora cómo las ciudades portuarias del Caribe ganaron prominencia bajo el comercio de plantaciones coloniales con el movimiento de bienes y personas a través del tráfico de esclavos. Esta presentación argumenta que las comunidades que representan una historia diversa aportan valor a cualquier esfuerzo de conservación del paisaje cultural urbano del Caribe. Además, que los HUL del Caribe se conviertan en centros de turismo de patrimonio cultural y, cuando sea posible, elaborados como ciudades creativas. La exclusión de la comunidad anularía los principios fundamentales establecidos en los diversos UNSDG y su valor para los SIDS. En conclusión, esta presentación plantea que las ciudades del Caribe deberían ser designadas como paisajes culturales regionales con un HUL de arquitectura criolla y vernácula caribeña, “Tesoros de Madera del Caribe” (van Oers & Haraguchi 2005), incluyendo valores asociativos como Sitios de Memoria. Este panorama cultural está subrepresentado a nivel mundial.
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    Planning and Management of Complex Landscapes: The Case of Rio de Janeiro, Carioca Landscapes
    Hoyuela Jayo, José Antonio
    The PRODOC4018 project aimed to develop tools for the planning and management of the Carioca landscapes, a World Heritage Site since 2012. The proposal promotes a shared and integrated management of cultural heritage of excellence through preservation guidelines, with intervention criteria and protection and management tools incorporated in action plans and geo-referenced monitoring mechanisms. These analysed properties were located in the World Heritage area and its surroundings, 'Carioca Landscapes: between the mountain and the sea. Landscape heritage must be evaluated, ordered and managed in its spatial and temporal context, but also in the social, environmental and economic context in which it develops. This requires an integrated, landscape and territorial vision. The work consisted of identifying, organizing and systematizing the normative instruments that affect these federally protected properties, 22 in total, located in the Baixada de Jacarepaguá, in Joa-Joatinga and in the surroundings of the Botanical Garden, in the watershed of the Rodrigo de Freitas Lagoon, as well as the Protected Forests and the Tijuca National Park. The working group consisted of IPHAN specialists who worked with the consultant Antonio Hoyuela. The result is structured in three types of documents. At a detailed scale, basic and indicative guidelines by landscape sub-units and morphotypes. At a medium basin scale, actions linked to territorial systems and landscape units. At a large scale, for the management, programming and planning of proposals, a joint Action Plan was defined. At the lowest level of detail, work was carried out with standards at scales close to 1/1000. At the scale of the specific property, the proposals included the component elements, the main processes and ecosystems and the values, as a basis for future processes of re-signification. Français: Le projet PRODOC4018 visait à développer des outils pour la planification et la gestion des paysages Carioca, un site du patrimoine mondial depuis 2012. La proposition promeut une gestion partagée et intégrée du patrimoine culturel d'excellence à travers des directives de préservation, avec des critères d'intervention et des outils de protection et de gestion intégrés. dans les plans d'action et les mécanismes de suivi géoréférencés. Ces biens analysés étaient situés dans la zone du patrimoine mondial et ses environs, 'Paysages Carioca : entre la montagne et la mer. Le patrimoine paysager doit être évalué, ordonné et géré dans son contexte spatial et temporel, mais aussi dans le contexte social, environnemental et économique dans lequel il se développe. Cela nécessite une vision intégrée, paysagère et territoriale. Le travail a consisté à identifier, organiser et systématiser les instruments normatifs qui affectent ces propriétés protégées par le gouvernement fédéral, 22 au total, situées dans la Baixada de Jacarepaguá, à Joa-Joatinga et dans les environs du Jardin Botanique, dans le bassin versant du Rodrigo de La lagune Freitas, ainsi que les forêts protégées et le parc national de Tijuca. Le groupe de travail était composé de spécialistes de l'IPHAN qui ont travaillé avec le consultant Antonio Hoyuela. Le résultat est structuré en trois types de documents. A une échelle détaillée, des repères de base et indicatifs par sous-unités paysagères et morphotypes. A l'échelle d'un bassin moyen, actions liées aux systèmes territoriaux et aux unités paysagères. A grande échelle, pour la gestion, la programmation et la planification des propositions, un plan d'action commun a été défini. Au niveau de détail le plus bas, les travaux ont été réalisés avec des étalons à des échelles proches du 1/1000. A l'échelle du bien spécifique, les propositions incluaient les éléments constitutifs, les principaux processus et écosystèmes et les valeurs, comme base pour les futurs processus de re-signification. Español: El proyecto PRODOC4018 tuvo como objetivo desarrollar herramientas para la planificación y gestión de los paisajes cariocas, Patrimonio de la Humanidad desde 2012. La propuesta promueve una gestión compartida e integrada del patrimonio cultural de excelencia a través de pautas de conservación, con criterios de intervención y herramientas de protección y gestión incorporadas. en planes de acción y mecanismos de seguimiento georreferenciados. Estos bienes analizados se ubicaron en el área Patrimonio de la Humanidad y su entorno, 'Paisajes Cariocas: entre la montaña y el mar. El patrimonio paisajístico debe ser evaluado, ordenado y gestionado en su contexto espacial y temporal, pero también en el contexto social, ambiental y económico en el que se desarrolla. Esto requiere una visión integrada, paisajística y territorial. El trabajo consistió en identificar, ordenar y sistematizar los instrumentos normativos que afectan a estos bienes de protección federal, 22 en total, ubicados en la Baixada de Jacarepaguá, en Joa-Joatinga y en los alrededores del Jardín Botánico, en la cuenca del río Rodrigo de Laguna de Freitas, así como los Bosques Protegidos y el Parque Nacional de Tijuca. El grupo de trabajo estuvo integrado por especialistas del IPHAN que trabajaron con el consultor Antonio Hoyuela. El resultado se estructura en tres tipos de documentos. A escala de detalle, lineamientos básicos e indicativos por subunidades de paisaje y morfotipos. A media cuenca, actuaciones vinculadas a sistemas territoriales y unidades de paisaje. A gran escala, para la gestión, programación y planificación de propuestas, se definió un Plan de Acción conjunto. Al mínimo nivel de detalle, se trabajó con patrones a escalas cercanas al 1/1000. A la escala del bien específico, las propuestas incluyeron los elementos componentes, los principales procesos y ecosistemas y los valores, como base para futuros procesos de resignificación.
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    A scientific tourism project with the community of the cultural landscape of the Cerro Machín Volcano, Colombia
    Velandia Silva, César Augusto
    It is intended to develop a strategy of social innovation and joint creation of didactic and pedagogical objectives for the identification and valuation of the cultural landscape by the inhabitants of Alto de Toche and also aimed at visitors interested in scientific tourism, articulated to the construction of an integrated discourse on the symbolic influence and risk management by the geoheritage represented by the Cerro Machín Volcano, archaeological settlements and pre-Columbian paths. The strategy will be implemented during 2022 through workshops to account for the process of conceptual construction and subsequent development of materials (maps-social cartography, photographs, routes, identification of attractive sites for fauna and flora sightings, wax palm forest ecosystems) and the generation of graphic and cartographic support materials for the visualization and location of sites in the context, with the use of drones, satellite images, georeferenced survey of points of interest and the construction of a GIS geodatabase in ArcMap of natural assets (wax palm forests, water courses, corridors) and archaeological settlement sites of the Alto de Toche village, located in the vicinity of the Cerro Machín Volcano risk area. Generate a 3D visualization in ArcGis Pro to locate the relationships and articulations between biodiversity, archaeology and geoheritage assets. Finally, through the design, diagramming and assembly of an expository memory (consisting of the assembly of photos, maps, texts, routes, areas, tours, corridors) it is possible to take advantage of a material for the use of the community and visitors of scientific tourism in Alto de Toche. Français: Le but est de développer une stratégie d'innovation sociale et de création conjointe d'objectifs didactiques et pédagogiques pour l'identification et la valorisation du paysage culturel par les habitants de l'Alto de Toche et également destinés aux visiteurs intéressés par le tourisme scientifique, articulés à la construction d'un discours intégré sur l'influence symbolique et la gestion des risques par le géopatrimoine représenté par le volcan Cerro Machín, les établissements archéologiques et les routes précolombiennes. La stratégie sera mise en œuvre au cours de l'année 2022 à travers des ateliers pour rendre compte du processus de construction conceptuelle et du développement ultérieur des matériaux (cartes - cartographie sociale, photographies, itinéraires, identification de sites attractifs pour l'observation de la faune et de la flore, écosystèmes de la forêt de palmiers à cire) et la génération de supports graphiques et cartographiques pour la visualisation et la localisation des sites dans le contexte, à l'aide de drones, d'images satellites, d'un relevé géoréférencé des points d'intérêt et de la construction d'une géodatabase SIG dans ArcMap des actifs naturels (forêts de palmiers à cire, cours d'eau, corridors) et des sites de peuplement archéologique dans le village d'Alto de Toche, situé à proximité de la zone à risque du volcan Cerro Machín. Générer une visualisation 3D dans ArcGis Pro pour localiser les relations et les articulations entre la biodiversité, l'archéologie et les actifs du géopatrimoine. Enfin, grâce à la conception, la mise en page et l'assemblage d'une mémoire expositive (composée de photos, de cartes, de textes, de routes, de zones, d'itinéraires, de couloirs), l'utilisation d'un matériel à l'usage de la communauté et des visiteurs du tourisme scientifique de l'Alto de Toche est rendue possible. Español: Se pretende desarrollar una estrategia de innovación social y creación conjunta de objetivos didácticos y pedagógicos para la identificación y valoración del paisaje cultural por parte de los pobladores de Alto de Toche y dirigido también a los visitantes interesados en el turismo científico, articulado a la construcción de un discurso integrado sobre la influencia simbólica y de la gestión del riesgo por el geopatrimonio representado por el Volcán Cerro Machín, los asentamientos arqueológicos y caminos indígenas. La estrategia se ejecutará durante 2022, mediante talleres para dar cuenta del proceso de construcción conceptual y posterior desarrollo de materiales (mapas-cartografía social, fotografías, rutas, identificación de sitios atractivos para avistamiento de fauna y flora, ecosistemas de bosques de palma de cera) y la generación de materiales gráficos y cartográficos de apoyo para la visualización y localización de sitios en el contexto, con el uso de drones, imágenes satelitales, levantamiento georeferenciado de puntos de interés y la construcción de una Geodatabase SIG en ArcMap de activos naturales (bosques de Palma de Cera, rondas hídricas, corredores) y sitios de asentamiento arqueológico de la vereda de Alto de Toche, localizado en las inmediaciones del área de riesgo del Volcán Cerro Machín. Generar una visualización en ArcGis Pro en 3D para ubicar las relaciones y articulaciones entre los activos de la biodiversidad, arqueología y geopatrimonio. Finalmente, mediante el diseño, diagramación y montaje de una memoria expositiva (que consta del montaje de fotos, mapas, textos, rutas, áreas, recorridos, corredores) se posibilita el aprovechamiento de un material para el uso de la comunidad y de los visitantes de turismo científico de la vereda Alto de Toche.
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    Sustaining Vernacular Working Landscapes
    Vlahos, Ekaterini
    The American West offers an invaluable laboratory for research focused on vernacular cultural landscapes, specifically working landscapes. Ninety percent of the state of Colorado is classified as rural and held in private or agency ownership. Unfortunately, a small percentage of the cultural resources on these properties and landscapes have been identified, recorded, studied, and protected. Predictions show that most vernacular working landscapes in the state will transition to new development to support a population expected to double by 2050. The visible impact of current rapid growth and future change necessitated a model for gathering information, educating the next generation on preservation, developing sustainable planning approaches for large landscapes, and learning from these historic sites before many potentially disappear. A case study will be presented highlighting partnerships developed between landowners, students, and local and state government agencies interested in keeping century-old vernacular cultural landscapes working as intended in agriculture and ranching. The presentation will highlight a model that focuses on partnerships, documentation processes, outcomes, and strategies for preservation planning. The model's purpose is to better understand the region's vernacular architecture and working landscapes and apply the information toward informed decision-making for responsible future planning. The questions explored are 1) How can we develop innovative methods to document, preserve, and protect large cultural landscapes broadening our understanding of the region's heritage? 2)What can we learn from the working cultural landscapes that define an essential part of the American West to inform preservation planning and future sustainable design? As rural traditions evolve—and, in many cases, disappear—the changes affect the region's heritage and vernacular cultural landscapes. If these large landscapes are not protected, the changes may redefine the physical landscape and identity of the American West. Français: L'Ouest américain offre un laboratoire inestimable pour la recherche axée sur les paysages culturels vernaculaires, en particulier les paysages de travail. Quatre-vingt-dix pour cent de l'État du Colorado sont classés comme ruraux et détenus par des particuliers ou des agences. Malheureusement, un petit pourcentage des ressources culturelles de ces biens et paysages ont été identifiés, enregistrés, étudiés et protégés. Les prévisions montrent que la plupart des paysages de travail vernaculaires de l'État passeront à un nouveau développement pour soutenir une population qui devrait doubler d'ici 2050. L'impact visible de la croissance rapide actuelle et des changements futurs a nécessité un modèle de collecte d'informations, d'éducation de la prochaine génération sur la préservation, le développement approches de planification durable pour les grands paysages, et apprendre de ces sites historiques avant que nombre d'entre eux ne disparaissent potentiellement. Une étude de cas sera présentée mettant en évidence les partenariats développés entre les propriétaires fonciers, les étudiants et les agences gouvernementales locales et étatiques intéressées à maintenir les paysages culturels vernaculaires centenaires fonctionnant comme prévu dans l'agriculture et l'élevage. La présentation mettra en évidence un modèle axé sur les partenariats, les processus de documentation, les résultats et les stratégies de planification de la préservation. Le but du modèle est de mieux comprendre l'architecture vernaculaire et les paysages fonctionnels de la région et d'appliquer les informations à une prise de décision éclairée pour une planification future responsable. Les questions explorées sont 1) Comment pouvons-nous développer des méthodes innovantes pour documenter, préserver et protéger les grands paysages culturels en élargissant notre compréhension du patrimoine de la région ? 2) Que pouvons-nous apprendre des paysages culturels fonctionnels qui définissent une partie essentielle de l'Ouest américain pour éclairer la planification de la préservation et la conception durable future ? À mesure que les traditions rurales évoluent – et, dans de nombreux cas, disparaissent – les changements affectent le patrimoine et les paysages culturels vernaculaires de la région. Si ces grands paysages ne sont pas protégés, les changements peuvent redéfinir le paysage physique et l'identité de l'Ouest américain. Español: El oeste americano ofrece un laboratorio invaluable para la investigación centrada en los paisajes culturales vernáculos, específicamente los paisajes de trabajo. El noventa por ciento del estado de Colorado está clasificado como rural y es de propiedad privada o de agencia. Lamentablemente, un pequeño porcentaje de los recursos culturales de estos bienes y paisajes han sido identificados, registrados, estudiados y protegidos. Las predicciones muestran que la mayoría de los paisajes de trabajo vernáculos en el estado pasarán a un nuevo desarrollo para apoyar a una población que se espera que se duplique para 2050. El impacto visible del rápido crecimiento actual y el cambio futuro requerían un modelo para recopilar información, educar a la próxima generación sobre la preservación, el desarrollo enfoques de planificación sostenible para grandes paisajes y aprender de estos sitios históricos antes de que muchos desaparezcan potencialmente. Se presentará un estudio de caso que destaca las asociaciones desarrolladas entre propietarios de tierras, estudiantes y agencias gubernamentales locales y estatales interesadas en mantener los paisajes culturales vernáculos centenarios funcionando según lo previsto en la agricultura y la ganadería. La presentación destacará un modelo que se enfoca en asociaciones, procesos de documentación, resultados y estrategias para la planificación de la preservación. El propósito del modelo es comprender mejor la arquitectura vernácula y los paisajes de trabajo de la región y aplicar la información para la toma de decisiones informadas para una planificación futura responsable. Las preguntas exploradas son 1) ¿Cómo podemos desarrollar métodos innovadores para documentar, preservar y proteger grandes paisajes culturales ampliando nuestra comprensión del patrimonio de la región? 2) ¿Qué podemos aprender de los paisajes culturales en funcionamiento que definen una parte esencial del oeste americano para informar la planificación de la preservación y el diseño sostenible futuro? A medida que las tradiciones rurales evolucionan y, en muchos casos, desaparecen, los cambios afectan el patrimonio de la región y los paisajes culturales vernáculos. Si estos grandes paisajes no están protegidos, los cambios pueden redefinir el paisaje físico y la identidad del oeste americano.
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    The evolving place of indigenous people and their cultural landscapes in the World Heritage Convention at 50
    Menzies, Diane; De Vries, Gregory W.
    Indigenous people, associated cultural landscapes, and the 1972 World Heritage Convention offer an evolving constellation of challenges and opportunities for cultural and natural resilience and self-determination. This discussion explores ongoing transitions in the relationship between the World Heritage List and indigeneity with respect to terminology, representation, distribution, and the real-world issues of poverty, climate change, resource and habitat loss, health crises, and power imbalances affecting current experiences and future directions for World Heritage. Institutional legacies still haunt processes of inscription and management; however, the engagement of Indigenous people is increasingly multi-faceted and mutually reinforcing. Over time, Indigenous perspectives on nature-culture have influenced the concept of cultural landscapes and also directed nominations to The List. Intangible aspects of spirituality and a connection to land and life can be recognized and elevated in the World Heritage process. In addition, while international frameworks and conventions such as Outstanding Universal Value continue to present translational issues for many people, a growing appreciation of the intertwined connection between Indigenous groups, their relationships with land, and World Heritage sites gradually infiltrates approaches to conservation and protection. Pitfalls abound yet the possibility of improvement lies in honest engagement where the primacy of Indigenous values can be voiced and sustained rather than subsumed and assimilated in World Heritage. With Indigenous leadership, capacity building, and the direct confrontation of daily struggles and global threats, cultural landscapes contribute to the way forward for the future of World Heritage, which in turn could benefit Indigenous people. Français : Les peuples autochtones, les paysages culturels associés et la Convention du patrimoine mondial de 1972 offrent une constellation en constante évolution de défis et d'opportunités pour la résilience culturelle et naturelle et l'autodétermination. Cette discussion explore les transitions en cours dans la relation entre la Liste du patrimoine mondial et l'indigénéité en ce qui concerne la terminologie, la représentation, la distribution et les problèmes réels de pauvreté, de changement climatique, de perte de ressources et d'habitats, de crises sanitaires et de déséquilibres de pouvoir affectant les expériences actuelles. et les orientations futures du patrimoine mondial. Les héritages institutionnels hantent encore les processus d'inscription et de gestion ; cependant, l'engagement des peuples autochtones est de plus en plus multiforme et se renforce mutuellement. Au fil du temps, les perspectives autochtones sur la nature et la culture ont influencé le concept de paysages culturels et ont également orienté les candidatures à la Liste. Les aspects intangibles de la spiritualité et un lien avec la terre et la vie peuvent être reconnus et élevés dans le processus du patrimoine mondial. En outre, alors que les cadres et conventions internationaux tels que la valeur universelle exceptionnelle continuent de présenter des problèmes de traduction pour de nombreuses personnes, une appréciation croissante du lien entre les groupes autochtones, leurs relations avec la terre et les sites du patrimoine mondial infiltre progressivement les approches de conservation et de protection. Les pièges abondent, mais la possibilité d'amélioration réside dans un engagement honnête où la primauté des valeurs autochtones peut être exprimée et soutenue plutôt qu'englobée et assimilée dans le patrimoine mondial. Avec le leadership autochtone, le renforcement des capacités et la confrontation directe des luttes quotidiennes et des menaces mondiales, les paysages culturels contribuent à la voie à suivre pour l'avenir du patrimoine mondial, ce qui pourrait à son tour bénéficier aux peuples autochtones. Español: Los pueblos indígenas, los paisajes culturales asociados y la Convención del Patrimonio Mundial de 1972 ofrecen una constelación en evolución de desafíos y oportunidades para la autodeterminación y la resiliencia cultural y natural. Esta discusión explora las transiciones en curso en la relación entre la Lista del Patrimonio Mundial y la indigeneidad con respecto a la terminología, la representación, la distribución y los problemas del mundo real de la pobreza, el cambio climático, la pérdida de recursos y hábitats, las crisis de salud y los desequilibrios de poder que afectan las experiencias actuales. y orientaciones futuras del Patrimonio Mundial. Los legados institucionales todavía acechan los procesos de inscripción y gestión; sin embargo, la participación de los pueblos indígenas es cada vez más multifacética y se refuerza mutuamente. Con el tiempo, las perspectivas indígenas sobre la naturaleza y la cultura han influido en el concepto de paisajes culturales y también han dirigido nominaciones a La Lista. Los aspectos intangibles de la espiritualidad y la conexión con la tierra y la vida pueden reconocerse y elevarse en el proceso del Patrimonio Mundial. Además, si bien los marcos y convenciones internacionales como Valor Universal Excepcional continúan presentando problemas de traslación para muchas personas, una creciente apreciación de la conexión entrelazada entre los grupos indígenas, sus relaciones con la tierra y los sitios del Patrimonio Mundial se infiltra gradualmente en los enfoques de conservación y protección. Aunque abundan las trampas, la posibilidad de mejora radica en un compromiso honesto en el que la primacía de los valores indígenas puede expresarse y sostenerse en lugar de subsumirse y asimilarse en el Patrimonio Mundial. Con el liderazgo indígena, el desarrollo de capacidades y la confrontación directa de las luchas diarias y las amenazas globales, los paisajes culturales contribuyen al camino a seguir para el futuro del Patrimonio Mundial, que a su vez podría beneficiar a los pueblos indígenas.
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    Cultural landscape as place, process, and practice
    Brown, Dr. Steve H
    As Australian cultural geographer Lesley Head notes, cultural landscape is not just one idea, but ‘the concept of cultural landscape has changed over time and evokes a range of contrasting understandings in different regions of the world, different academic disciplines, and different government contexts’ (Head 2010, p. 427). While there is a vast literature on the subject, cultural landscapes can be considered to encompass three broad meanings. First, cultural landscape as place; that is, the phrase can be applied to a selected region of the Earth that has been transformed by human-ecological intra-action. Second, cultural landscape as process; that is, an intellectual concept that can be used to understand human-ecological systems that go beyond settlement and land use patterns, and physical structures. Third, cultural landscape as a set of practices, methods, and tools. In presenting these meanings, I contrast the definition of cultural landscape as adopted by the UNESCO World Heritage Committee in 1992 with current views of cultural landscape as part of a system that views heritage as a social, cultural, political, and future-oriented activity. Français : Comme le note la géographe culturelle australienne Lesley Head, le paysage culturel n'est pas qu'une idée, mais « le concept de paysage culturel a changé au fil du temps et évoque une gamme de compréhensions contrastées dans différentes régions du monde, différentes disciplines universitaires et différents gouvernements contextes » (Head 2010, p. 427). Bien qu'il existe une vaste littérature sur le sujet, les paysages culturels peuvent être considérés comme recouvrant trois grandes significations. Premièrement, le paysage culturel en tant que lieu ; c'est-à-dire que l'expression peut être appliquée à une région sélectionnée de la Terre qui a été transformée par une intra-action humaine-écologique. Deuxièmement, le paysage culturel en tant que processus ; c'est-à-dire un concept intellectuel qui peut être utilisé pour comprendre les systèmes humains-écologiques qui vont au-delà des modèles d'établissement et d'utilisation des terres, et des structures physiques. Troisièmement, le paysage culturel en tant qu'ensemble de pratiques, de méthodes et d'outils. En présentant ces significations, je compare la définition du paysage culturel telle qu'adoptée par le Comité du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1992 avec les vues actuelles du paysage culturel dans le cadre d'un système qui considère le patrimoine comme une activité sociale, culturelle, politique et tournée vers l'avenir. Español: Como señala el geógrafo cultural australiano Lesley Head, el paisaje cultural no es solo una idea, sino que 'el concepto de paisaje cultural ha cambiado con el tiempo y evoca una variedad de entendimientos contrastantes en diferentes regiones del mundo, diferentes disciplinas académicas y diferentes gobiernos contextos '(Head 2010, p. 427). Si bien existe una vasta literatura sobre el tema, se puede considerar que los paisajes culturales abarcan tres significados amplios. Primero, el paisaje cultural como lugar; es decir, la frase se puede aplicar a una región seleccionada de la Tierra que ha sido transformada por la intra-acción ecológica humana. En segundo lugar, el paisaje cultural como proceso; es decir, un concepto intelectual que se puede utilizar para comprender los sistemas ecológicos humanos que van más allá de los patrones de asentamiento y uso de la tierra, y las estructuras físicas. En tercer lugar, el paisaje cultural como un conjunto de prácticas, métodos y herramientas. Al presentar estos significados, contraste la definición de paisaje cultural adoptada por el Comité del Patrimonio Mundial de la UNESCO en 1992 con las visiones actuales del paisaje cultural como parte de un sistema que considera el patrimonio como una actividad social, cultural, política y orientada al futuro.
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    Legal Framework of Cultural Landscape as a Listed Cultural Heritage in Taiwan
    Wang, Chun-Hsi
    The cultural landscape has been protected as a cultural heritage in Taiwan since the amendment of the law in 2005. The definition in the law of 2005 was “the spaces and related environment of myths, legends, circumstances, historical events, community life, or ceremony”. However, the 2005 definition was ambiguous, which resulted in several unclear registered cases. For instance, some cases may have been registered as cultural landscapes but have buildings as their major attributes. This reflects the fact that the preservation of cultural heritage in Taiwan still focuses on the preservation of buildings, which highlights the difference between the concept of cultural landscape and that of the World Heritage. In 2016, a new amendment made the definition much clearer. Cultural landscapes were now defined as “locations or environments formed through longtime interactions between human beings and the natural environments, which are of value from the point of view of history, aesthetics, ethnology, or anthropology”. The 2016 version of the law, although close to the concept of World Heritage, still faces many problems in the actual preservation and maintenance. For example, the rights of the owners, the cooperation of the regional planning system, the maintenance of the driving force rather than the restoration of the buildings, etc., are the issues that must be faced in the preservation and maintenance of the cultural landscape. Français : Le paysage culturel est protégé en tant que patrimoine culturel à Taiwan depuis l'amendement de la loi en 2005. La définition de la loi de 2005 était la suivante : " les espaces et l'environnement connexe des mythes, légendes, circonstances, événements historiques, vie communautaire ou cérémonie ". Cependant, la définition de 2005 était ambiguë, ce qui a donné lieu à plusieurs cas enregistrés peu clairs. Par exemple, certains cas peuvent avoir été enregistrés en tant que paysages culturels mais avoir des bâtiments comme attributs principaux. Cela reflète le fait que la préservation du patrimoine culturel à Taïwan se concentre toujours sur la préservation des bâtiments, ce qui souligne la différence entre le concept de paysage culturel et celui du patrimoine mondial. En 2016, un nouvel amendement a rendu la définition beaucoup plus claire. Les paysages culturels étaient désormais définis comme " des lieux ou des environnements formés par des interactions de longue date entre les êtres humains et les environnements naturels, qui ont une valeur du point de vue de l'histoire, de l'esthétique, de l'ethnologie ou de l'anthropologie ". La version 2016 de la loi, bien que proche du concept de patrimoine mondial, se heurte encore à de nombreux problèmes dans la préservation et l'entretien réels. Par exemple, les droits des propriétaires, la coopération du système d'aménagement du territoire, le maintien de la force motrice plutôt que la restauration des bâtiments, etc. sont les questions auxquelles il faut faire face dans la préservation et l'entretien du paysage culturel. Español: El paisaje cultural está protegido como patrimonio cultural en Taiwán desde la modificación de la ley en 2005. La definición de la ley de 2005 era "los espacios y el entorno relacionado con los mitos, las leyendas, las circunstancias, los acontecimientos históricos, la vida comunitaria o las ceremonias". Sin embargo, la definición de 2005 era ambigua, lo que dio lugar a varios casos registrados poco claros. Por ejemplo, algunos casos pueden haber sido registrados como paisajes culturales pero tienen edificios como sus principales atributos. Esto refleja el hecho de que la preservación del patrimonio cultural en Taiwán sigue centrándose en la preservación de los edificios, lo que pone de manifiesto la diferencia entre el concepto de paisaje cultural y el de Patrimonio Mundial. En 2016, una nueva enmienda hizo la definición mucho más clara. Los paisajes culturales se definían ahora como "lugares o entornos formados a través de interacciones prolongadas entre los seres humanos y los entornos naturales, que tienen valor desde el punto de vista de la historia, la estética, la etnología o la antropología". La versión de 2016 de la ley, aunque se aproxima al concepto de Patrimonio Mundial, sigue enfrentándose a muchos problemas en la preservación y el mantenimiento reales. Por ejemplo, los derechos de los propietarios, la cooperación del sistema de planificación regional, el mantenimiento de la fuerza motriz en lugar de la restauración de los edificios, etc., son las cuestiones que deben afrontarse en la preservación y el mantenimiento del paisaje cultural.
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    Significance, Opportunities and Challenges of Cultural Landscape Conservation and Bhutan Heritage Bill – UNESCO’s Experiences of Bhutan
    Chih-Hung Lin, Roland
    UNESCO was the first United Nations agency to deal with landscapes at a global scale, notably through the 1962 UNESCO Recommendation on the Beauty and Character of Landscapes and Sites and the 1972 Convention Concerning the Protection of the World Cultural and Natural Heritage. This article shares the knowledge and experience garnered by UNESCO through its conservation and management activities at Cultural Landscapes in Bhutan and highlights the urgent need for a cultural-historical-natural territory approach to address the pressing challenges for the conservation of Cultural Landscapes in Bhutan, and for a strong focus on the peoples and communities that inhabit these territories and their involvement at all stages. Since long, Bhutan is regarded as a most mysterious and remote country, hidden in the Himalayas. A complex cultural landscape has evolved in the small nation of Bhutan for millennia. However, recently, Bhutan is considered to be one of the most rapidly urbanizing societies in Asia, and people in Bhutan have expressed worry about these changes. Acknowledging that Bhutan is a rare case where almost the entire land has retained a magnificent landscape displaying a harmonious co-existence of culture and nature, the UNESCO World Heritage Centre is providing technical assistance to the Government of Bhutan to make Cultural Landscapes a focus of heritage protection in the country’s administrative framework, the national policy, good practice as well as the very first Bhutan Heritage Bill. A series of the Five UNESCO-Bhutan Support Cultural Landscape Initiatives workshops, including panel sessions and forums, set up a platform since 2014 to introduce ‘cultural landscape’ as a new conservation concept, along with conserving and raising awareness of its cultural landscapes to gain attention of multiple stakeholders, such as of town planning, agricultural development and tourism. The cultural-historical-natural territory approach and communities involvement for Cultural Landscape conservation and management has been presented in order to develop a common vision to sustain the values of cultural landscape, which would be an important indicator of the success of the Bhutanese Gross National Happiness. It is very promising to note that in the draft Heritage Bill of Bhutan (now under final Governmental adoption), the entire country is defined as a Cultural Landscape from the Preamble onwards: ‘Bhutan’s uniqueness lies in its cultural landscape where tangible and intangible cultural heritage and nature coexist harmoniously’. Français : L'UNESCO a été la première agence des Nations Unies à s'occuper des paysages à l'échelle mondiale, notamment à travers la Recommandation de l'UNESCO de 1962 sur la beauté et le caractère des paysages et des sites et la Convention de 1972 concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel. Cet article partage les connaissances et l'expérience acquises par l'UNESCO à travers ses activités de conservation et de gestion des paysages culturels au Bhoutan et souligne le besoin urgent d'une approche culturelle, historique et naturelle des territoires pour relever les défis urgents de la conservation des paysages culturels au Bhoutan, et pour une forte focalisation sur les peuples et les communautés qui habitent ces territoires et leur implication à toutes les étapes. Depuis longtemps, le Bhoutan est considéré comme un pays des plus mystérieux et reculé, caché dans l'Himalaya. Un paysage culturel complexe a évolué dans la petite nation du Bhoutan pendant des millénaires. Cependant, récemment, le Bhoutan est considéré comme l'une des sociétés d'Asie qui s'urbanise le plus rapidement, et les Bhoutanais ont exprimé leur inquiétude face à ces changements. Reconnaissant que le Bhoutan est un cas rare où presque tout le territoire a conservé un paysage magnifique affichant une coexistence harmonieuse de la culture et de la nature, le Centre du patrimoine mondial de l'UNESCO fournit une assistance technique au gouvernement du Bhoutan pour faire des paysages culturels un centre de patrimoine protection dans le cadre administratif du pays, la politique nationale, les bonnes pratiques ainsi que le tout premier projet de loi sur le patrimoine du Bhoutan. Une série de cinq ateliers UNESCO-Bhutan Support Cultural Landscape Initiatives, y compris des panels et des forums, a mis en place une plate-forme depuis 2014 pour présenter le « paysage culturel » en tant que nouveau concept de conservation, ainsi que la conservation et la sensibilisation à ses paysages culturels pour gagner l'attention de multiples acteurs, tels que l'urbanisme, le développement agricole et le tourisme. L'approche du territoire culturel, historique et naturel et l'implication des communautés pour la conservation et la gestion du paysage culturel ont été présentées afin de développer une vision commune pour soutenir les valeurs du paysage culturel, ce qui serait un indicateur important du succès du bonheur national brut du Bhoutan. . Il est très prometteur de noter que dans le projet de loi sur le patrimoine du Bhoutan (maintenant en cours d'adoption finale par le gouvernement), le pays tout entier est défini comme un paysage culturel à partir du préambule : « Le caractère unique du Bhoutan réside dans son paysage culturel où le patrimoine culturel matériel et immatériel et la nature coexistent harmonieusement ». Español: La UNESCO fue el primer organismo de las Naciones Unidas que se ocupó de los paisajes a escala mundial, en particular a través de la Recomendación de la UNESCO de 1962 sobre la belleza y el carácter de los paisajes y sitios y la Convención de 1972 sobre la protección del patrimonio mundial cultural y natural. Este artículo comparte el conocimiento y la experiencia acumulados por la UNESCO a través de sus actividades de conservación y gestión en los paisajes culturales en Bután y destaca la necesidad urgente de un enfoque cultural-histórico-territorial natural para abordar los desafíos urgentes para la conservación de los paisajes culturales en Bután, y por un fuerte enfoque en los pueblos y comunidades que habitan estos territorios y su participación en todas las etapas. Desde hace mucho tiempo, Bután es considerado un país muy misterioso y remoto, escondido en el Himalaya. Un paisaje cultural complejo ha evolucionado en la pequeña nación de Bután durante milenios. Sin embargo, recientemente, se considera que Bután es una de las sociedades que se urbanizan más rápidamente en Asia, y la gente de Bután ha expresado su preocupación por estos cambios. Reconociendo que Bután es un caso raro en el que casi toda la tierra ha conservado un paisaje magnífico que muestra una coexistencia armoniosa de cultura y naturaleza, el Centro del Patrimonio Mundial de la UNESCO está brindando asistencia técnica al Gobierno de Bután para hacer de los Paisajes Culturales un foco de patrimonio. protección en el marco administrativo del país, la política nacional, las buenas prácticas y el primer proyecto de ley del patrimonio de Bhután. Una serie de talleres de las cinco iniciativas de apoyo al paisaje cultural de la UNESCO-Bután, que incluyen sesiones de panel y foros, estableció una plataforma desde 2014 para presentar el `` paisaje cultural '' como un nuevo concepto de conservación, junto con la conservación y la concienciación de sus paisajes culturales para ganar atención de múltiples actores, como el urbanismo, el desarrollo agrícola y el turismo. El enfoque cultural-histórico-territorial natural y la participación de las comunidades para la conservación y gestión del paisaje cultural se han presentado con el fin de desarrollar una visión común para sostener los valores del paisaje cultural, que sería un indicador importante del éxito de la Felicidad Nacional Bruta de Bután. . Es muy prometedor observar que en el proyecto de Ley del Patrimonio de Bután (ahora en proceso de aprobación gubernamental final), todo el país se define como un paisaje cultural desde el Preámbulo en adelante: 'La singularidad de Bután radica en su paisaje cultural donde el patrimonio cultural tangible e intangible y la naturaleza conviven armoniosamente ”.
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    Historical Evolution of Cultural Landscape Protection in Japan and Perspectives towards Climate Change
    Ishikawa, Mikiko
    The concept of cultural landscapes has existed as a social foundation in Japan since the 11th century. Numerous gardens and community forests were created and protected as the spiritual site of cultural landscapes. Modernization took place in 1868, and based on social change, various laws were established for protecting cultural landscapes. In this presentation, the author will explain the challenges for protection, especially focusing on the movements in the historical city of Kamakura since the 1960’s, considering the birth of the law of Historic Landscape Preservation. Based on the establishment of this law in Kamakura, a Green Preservation Law was created in the 1980’s which could apply to all cities and towns in Japan. In the 21st century, huge disasters, particularly related to typhoon and floods, have been accellerated due to climate change. The author will focuse on the green infrastructure in Metropolitan Tokyo, with a population of 43 million making it the largest megalopolis in the world. The author will analyse 883 watersheds in the megalopolis, from the point of view of water circulation and green infrastructure. It is clear that many of these green infrastructure sites had originated from the historical accumulation of cultural landscapes. It is crucial for our society to recognize that cultural landscapes are the most essential structure for climate change adaptation, and to protect and enhance these sites. Français : Le concept de paysages culturels existe en tant que fondement social au Japon depuis le XIe siècle. De nombreux jardins et forêts communautaires ont été créés et protégés en tant que site spirituel des paysages culturels. La modernisation a eu lieu en 1868 et, sur la base du changement social, diverses lois ont été établies pour protéger les paysages culturels. Dans cette présentation, l'auteur expliquera les défis de la protection, en se concentrant particulièrement sur les mouvements dans la ville historique de Kamakura depuis les années 1960, compte tenu de la naissance de la loi de la préservation des paysages historiques. Sur la base de l'établissement de cette loi à Kamakura, une loi de préservation verte a été créée dans les années 1980 qui pourrait s'appliquer à toutes les villes et villages du Japon. Au 21e siècle, d'énormes catastrophes, notamment liées aux typhons et aux inondations, se sont accélérées en raison du changement climatique. L'auteur se concentrera sur les infrastructures vertes de la métropole de Tokyo, avec une population de 43 millions d'habitants, ce qui en fait la plus grande mégalopole du monde. L'auteur analysera 883 bassins versants de la mégalopole, du point de vue de la circulation de l'eau et des infrastructures vertes. Il est clair que bon nombre de ces sites d'infrastructures vertes ont pour origine l'accumulation historique de paysages culturels. Il est crucial pour notre société de reconnaître que les paysages culturels sont la structure la plus essentielle pour l'adaptation au changement climatique, et de protéger et mettre en valeur ces sites. Español: El concepto de paisajes culturales existe como fundamento social en Japón desde el siglo XI. Se crearon y protegieron numerosos jardines y bosques comunitarios como sitio espiritual de paisajes culturales. La modernización tuvo lugar en 1868 y, sobre la base del cambio social, se establecieron varias leyes para proteger los paisajes culturales. En esta presentación, el autor explicará los desafíos para la protección, centrándose especialmente en los movimientos en la histórica ciudad de Kamakura desde la década de 1960, considerando el nacimiento de la ley de Preservación Histórica del Paisaje. Sobre la base del establecimiento de esta ley en Kamakura, en la década de 1980 se creó una Ley de Conservación Verde que podría aplicarse a todas las ciudades y pueblos de Japón. En el siglo XXI, los grandes desastres, en particular los relacionados con tifones e inundaciones, se han acelerado debido al cambio climático. El autor se centrará en la infraestructura verde en el área metropolitana de Tokio, con una población de 43 millones, lo que la convierte en la megalópolis más grande del mundo. El autor analizará 883 cuencas hidrográficas en la megalópolis, desde el punto de vista de la circulación del agua y la infraestructura verde. Está claro que muchos de estos sitios de infraestructura verde se originaron a partir de la acumulación histórica de paisajes culturales. Es fundamental que nuestra sociedad reconozca que los paisajes culturales son la estructura más esencial para la adaptación al cambio climático y para proteger y mejorar estos sitios.
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    Evolution of landscape scale protection in Australia since 1974
    Lennon, Jane
    Australia ICOMOS found the Venice Charter principles to be universally sound but not applicable to an ancient landscape encompassing 60,000 years of Aboriginal occupation and modified by only 200 years of European settlement. In response, Australia ICOMOS members created the Burra Charter to deal with conservation of places of cultural significance, and in the years since 1981, it has been updated to reflect contemporary practice and improved understanding of intangible values. Although its principles and planning steps have been followed for large publicly-owned conservation landscapes such as national parks or for urban historic parks, the challenge is to apply it to freehold landscapes with significant cultural heritage values. The World Heritage listing of indigenous landscapes from 1992 recognised Australian Aboriginal landscape at Uluru Kata-Juta as both a living sentient one full of cultural values and a narrative one and acknowledged Aboriginal ecological responsibility as ‘looking after country’ using traditional methods, especially fire. This long term cultural burning practice has become widely endorsed in Australia following the catastrophic bushfires of summmer 2019-20. However, Australians like wild, rugged natural landscapes and have been slow to recognise the culture-nature continuum and the human interaction with shaping the environment. The Landcare movement has contributed to a nation-wide repair of degraded landscapes as a result of overclearing and grazing.Valued cultural landscapes in rural areas also need protection as populations move to cities and the cooler coast and productive land is managed by broad scale industrial methods with loss of the fine grained historic traces and local place-based knowledge of ecological variation and sustainability. Landowners, farmers, managers, politicians, and planners need to be convinced of the relevance of the cultural landscape approach in managing large scale landscapes in the face of climate change, population movements and sustainable productivity in a global framework of supply chains. Français : Australie L'ICOMOS a estimé que les principes de la Charte de Venise étaient universellement valables mais ne s'appliquaient pas à un paysage ancien englobant 60 000 ans d'occupation aborigène et modifié par seulement 200 ans de colonisation européenne. En réponse, les membres australiens de l'ICOMOS ont créé la Charte de Burra pour traiter de la conservation des lieux d'importance culturelle, et au cours des années depuis 1981, elle a été mise à jour pour refléter la pratique contemporaine et une meilleure compréhension des valeurs immatérielles. Bien que ses principes et étapes de planification aient été suivis pour les grands paysages de conservation publics tels que les parcs nationaux ou les parcs historiques urbains, le défi consiste à l'appliquer aux paysages en pleine propriété avec des valeurs patrimoniales importantes. La liste du patrimoine mondial des paysages autochtones de 1992 a reconnu le paysage aborigène australien d'Uluru Kata-Juta à la fois comme un paysage vivant et sensible plein de valeurs culturelles et narratif et a reconnu la responsabilité écologique des aborigènes comme « prendre soin du pays » en utilisant des méthodes traditionnelles, en particulier le feu. Cette pratique de brûlage culturel à long terme est devenue largement approuvée en Australie à la suite des feux de brousse catastrophiques de l'été 2019-2020. Cependant, les Australiens aiment les paysages naturels sauvages et accidentés et ont été lents à reconnaître le continuum culture-nature et l'interaction humaine avec la formation de l'environnement. Le mouvement Landcare a contribué à une réparation à l'échelle nationale des paysages dégradés à la suite du défrichement excessif et du pâturage. Les paysages culturels valorisés dans les zones rurales ont également besoin de protection alors que les populations se déplacent vers les villes et que la côte plus fraîche et les terres productives sont gérées par des méthodes industrielles à grande échelle. avec la perte des traces historiques à grain fin et de la connaissance locale de la variation écologique et de la durabilité. Les propriétaires fonciers, les agriculteurs, les gestionnaires, les politiciens et les planificateurs doivent être convaincus de la pertinence de l'approche du paysage culturel dans la gestion des paysages à grande échelle face au changement climatique, aux mouvements de population et à la productivité durable dans un cadre mondial de chaînes d'approvisionnement. Español: Australia ICOMOS encontró que los principios de la Carta de Venecia son universalmente sólidos pero no aplicables a un paisaje antiguo que abarca 60.000 años de ocupación aborigen y ha sido modificado por solo 200 años de asentamiento europeo. En respuesta, los miembros de ICOMOS de Australia crearon la Carta de Burra para tratar la conservación de lugares de importancia cultural, y en los años desde 1981, se ha actualizado para reflejar la práctica contemporánea y una mejor comprensión de los valores intangibles. Aunque sus principios y pasos de planificación se han seguido para grandes paisajes de conservación de propiedad pública, como parques nacionales o parques históricos urbanos, el desafío es aplicarlo a los paisajes de propiedad absoluta con importantes valores de patrimonio cultural. La lista del Patrimonio Mundial de paisajes indígenas de 1992 reconoció el paisaje aborigen australiano en Uluru Kata-Juta como un paisaje vivo lleno de valores culturales y narrativo y reconoció la responsabilidad ecológica aborigen como 'cuidar el país' utilizando métodos tradicionales, especialmente el fuego. Esta práctica de quema cultural a largo plazo ha sido ampliamente respaldada en Australia luego de los catastróficos incendios forestales del verano de 2019-20. Sin embargo, a los australianos les gustan los paisajes naturales salvajes y accidentados y han tardado en reconocer el continuo cultura-naturaleza y la interacción humana con la configuración del medio ambiente. El movimiento Landcare ha contribuido a una reparación a nivel nacional de paisajes degradados como resultado de la desbroce y el pastoreo.Los valiosos paisajes culturales en las áreas rurales también necesitan protección a medida que las poblaciones se mudan a las ciudades y la costa más fría y la tierra productiva se gestionan mediante métodos industriales a gran escala. con la pérdida de las huellas históricas de grano fino y el conocimiento local basado en el lugar de la variación ecológica y la sostenibilidad. Los propietarios de tierras, agricultores, administradores, políticos y planificadores deben estar convencidos de la relevancia del enfoque del paisaje cultural en la gestión de paisajes a gran escala frente al cambio climático, los movimientos de población y la productividad sostenible en un marco global de cadenas de suministro.
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    Cultural Landscapes in Aotearoa New Zealand – Decolonisation and challenges
    Short, Nicola; Hill, Carolyn
    The first place to be inscribed on the UNESCO World Heritage list as a cultural landscape was Tongariro National Park in Aotearoa New Zealand. Despite this early acknowledgement in the international arena there is a weak theoretical understanding of cultural landscapes in Aotearoa, both in the legislative environment and management regimes (Short 2020). The current state of cultural landscapes in Aotearoa can be seen as an expression of the colonial systems and perspectives which dominate environmental and heritage planning. The identification and application of heritage status and associated protections in Aotearoa with respect to cultural landscapes has a number of challenges. In particular, the term itself is yet to have any specific formal or legal meaning or associated protection mechanisms. Furthermore, its emphasis on interconnectedness is incommensurate with contemporary legal systems which are based on concepts of “land as a physical reality with reasonably clear and identifiable boundaries of delimitation” (Fisher 2005, 2). Many of the challenges that exist in meaningfully applying the cultural heritage landscape approach to heritage identification and protection in Aotearoa are common across colonial settler states, where obligations to indigenous rights, including the right to self-determination and cultural access, sit uncomfortably with European-derived legal and planning frameworks. This presentation will highlight a number of case studies and proposed legislative changes that are currently live in Aotearoa as manifestations of these unresolved issues. We will examine the relationship between cultural landscapes and the United Nations Declaration of the Rights of Indigenous People 2007 (UNDRIP) via exploration of cultural landscape examples in Aotearoa’s urban and peri-urban contexts. Français : Le premier endroit à être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en tant que paysage culturel était le parc national de Tongariro à Aotearoa en Nouvelle-Zélande. Malgré cette reconnaissance précoce sur la scène internationale, il existe une faible compréhension théorique des paysages culturels à Aotearoa, à la fois dans l'environnement législatif et les régimes de gestion (Short 2020). L'état actuel des paysages culturels à Aotearoa peut être considéré comme l'expression des systèmes et perspectives coloniaux qui dominent la planification environnementale et patrimoniale. L'identification et l'application du statut de patrimoine et des protections associées à Aotearoa en ce qui concerne les paysages culturels présente un certain nombre de défis. En particulier, le terme lui-même n'a pas encore de sens formel ou juridique spécifique ou de mécanismes de protection associés. De plus, l'accent mis sur l'interdépendance est sans commune mesure avec les systèmes juridiques contemporains qui sont basés sur les concepts de « la terre en tant que réalité physique avec des limites de délimitation raisonnablement claires et identifiables » (Fisher 2005, 2). Bon nombre des défis qui existent dans l'application significative de l'approche du paysage du patrimoine culturel à l'identification et à la protection du patrimoine à Aotearoa sont communs à tous les États coloniaux, où les obligations envers les droits autochtones, y compris le droit à l'autodétermination et à l'accès culturel, sont mal à l'aise avec les Européens. cadres juridiques et de planification dérivés. Cette présentation mettra en évidence un certain nombre d'études de cas et de modifications législatives proposées qui sont actuellement en vigueur à Aotearoa en tant que manifestations de ces problèmes non résolus. Nous examinerons la relation entre les paysages culturels et la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones 2007 (UNDRIP) via l'exploration d'exemples de paysages culturels dans les contextes urbains et périurbains d'Aotearoa. Español: El primer lugar en ser inscrito en la lista del Patrimonio Mundial de la UNESCO como paisaje cultural fue el Parque Nacional Tongariro en Aotearoa Nueva Zelanda. A pesar de este reconocimiento temprano en la arena internacional, existe una comprensión teórica débil de los paisajes culturales en Aotearoa, tanto en el entorno legislativo como en los regímenes de gestión (Short 2020). El estado actual de los paisajes culturales en Aotearoa puede verse como una expresión de los sistemas y perspectivas coloniales que dominan la planificación ambiental y patrimonial. La identificación y aplicación del estado patrimonial y las protecciones asociadas en Aotearoa con respecto a los paisajes culturales presenta una serie de desafíos. En particular, el término en sí mismo aún no tiene ningún significado formal o legal específico o mecanismos de protección asociados. Además, su énfasis en la interconexión es inconmensurable con los sistemas legales contemporáneos que se basan en conceptos de “tierra como una realidad física con límites de delimitación razonablemente claros e identificables” (Fisher 2005, 2). Muchos de los desafíos que existen en la aplicación significativa del enfoque del paisaje del patrimonio cultural a la identificación y protección del patrimonio en Aotearoa son comunes en los estados colonizadores, donde las obligaciones con los derechos indígenas, incluido el derecho a la autodeterminación y el acceso cultural, incomodan a los europeos. marcos legales y de planificación derivados. Esta presentación destacará una serie de estudios de caso y cambios legislativos propuestos que se encuentran actualmente vivos en Aotearoa como manifestaciones de estos problemas no resueltos. Examinaremos la relación entre los paisajes culturales y la Declaración de los Derechos de los Pueblos Indígenas de 2007 (DNUDPI) de las Naciones Unidas a través de la exploración de ejemplos de paisajes culturales en los contextos urbano y periurbano de Aotearoa.
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    When you can't see the trees for the forest: An analysis of heritage tree protection and the implications for nature culture integration
    Brabec, Elizabeth
    Heritage trees provide a sense of permanency and sense of place, spiritual connections, and also a critical repository of a gene pool, climate adaptation history and future human resources. Characterized as the oldest and/or largest tree of a species, heritage or "champion" trees as they are often termed, contain a "library" of climate changes that have taken place over hundreds and in some cases thousands of years. But in the designation and protection of heritage trees, the criteria of ecosystem services and economic values are mentioned much more frequently in the legislation and research, than cultural or heritage values. This is particularly apparent when looking at the national registries of heritage trees (e.g. American Forests 2017; National Trusts of Australia 2013). During the past few decades, in an effort to support their protection and maintenance, research has been conducted in many countries into the use, importance, and value of heritage trees. With the rare inclusion of the analysis of heritage trees and their importance in tourism (Hall, James and Baird 2011), research has focused primarily on ecological system services, human food and lumber value, and overall economic value. In addition, there are various registries that focus on the status of heritage trees as endangered, as icons in the landscape, or as the largest of their species as a proxy for age (Ritchie, Szuster and Kaufman 2021). Most are merely honorary designations, with legal protection delegated to local laws or as a part of other heritage legislation. In the drive towards nature culture integration in World Heritage and cultural landscapes more broadly, there is a need to place the cultural value of trees on equal footing with their ecological values. This paper will explore changes to policy, and approaches to documentation and protection that must occur for nature-culture parity to be realized. Français : Les arbres patrimoniaux procurent un sentiment de permanence et d'appartenance, des liens spirituels, ainsi qu'un dépôt essentiel d'un pool génétique, d'une histoire d'adaptation au climat et de ressources humaines futures. Caractérisés comme l'arbre le plus ancien et/ou le plus grand d'une espèce, les arbres du patrimoine ou « champions » comme on les appelle souvent, contiennent une « bibliothèque » des changements climatiques qui se sont produits sur des centaines et dans certains cas des milliers d'années. Mais dans la désignation et la protection des arbres patrimoniaux, les critères de services écosystémiques et de valeurs économiques sont évoqués beaucoup plus fréquemment dans la législation et la recherche, que les valeurs culturelles ou patrimoniales. Cela est particulièrement évident lorsque l'on examine les registres nationaux des arbres patrimoniaux (par exemple, American Forests 2017 ; National Trusts of Australia 2013). Au cours des dernières décennies, dans un effort pour soutenir leur protection et leur entretien, des recherches ont été menées dans de nombreux pays sur l'utilisation, l'importance et la valeur des arbres patrimoniaux. Avec l'inclusion rare de l'analyse des arbres patrimoniaux et de leur importance dans le tourisme (Hall, James et Baird 2011), la recherche s'est principalement concentrée sur les services du système écologique, la valeur de l'alimentation humaine et du bois, et la valeur économique globale. En outre, il existe divers registres qui se concentrent sur le statut des arbres du patrimoine en tant qu'espèce en voie de disparition, en tant qu'icônes du paysage ou en tant que plus grand de leurs espèces en tant qu'indicateur d'âge (Ritchie, Szuster et Kaufman 2021). La plupart sont simplement des désignations honorifiques, avec une protection juridique déléguée aux lois locales ou dans le cadre d'autres législations patrimoniales. Dans le mouvement vers l'intégration de la culture de la nature dans le patrimoine mondial et les paysages culturels plus largement, il est nécessaire de placer la valeur culturelle des arbres sur un pied d'égalité avec leurs valeurs écologiques. Cet article explorera les changements de politique et les approches de la documentation et de la protection qui doivent se produire pour que la parité nature-culture soit réalisée. Español: Los árboles patrimoniales brindan un sentido de permanencia y un sentido de lugar, conexiones espirituales y también un depósito crítico de un acervo genético, la historia de la adaptación climática y los recursos humanos futuros. Caracterizado como el árbol más antiguo y / o más grande de una especie, los árboles patrimoniales o "campeones", como a menudo se los denomina, contienen una "biblioteca" de cambios climáticos que han tenido lugar durante cientos y, en algunos casos, miles de años. Pero en la designación y protección de los árboles patrimoniales, los criterios de los servicios ecosistémicos y los valores económicos se mencionan con mucha más frecuencia en la legislación y la investigación que los valores culturales o patrimoniales. Esto es particularmente evidente cuando se examinan los registros nacionales de árboles patrimoniales (por ejemplo, American Forests 2017; National Trusts of Australia 2013). Durante las últimas décadas, en un esfuerzo por apoyar su protección y mantenimiento, se han realizado investigaciones en muchos países sobre el uso, la importancia y el valor de los árboles patrimoniales. Con la rara inclusión del análisis de árboles patrimoniales y su importancia en el turismo (Hall, James y Baird 2011), la investigación se ha centrado principalmente en los servicios del sistema ecológico, los alimentos humanos y el valor de la madera y el valor económico general. Además, existen varios registros que se centran en el estado de los árboles patrimoniales como en peligro de extinción, como iconos en el paisaje o como los más grandes de sus especies como indicador de la edad (Ritchie, Szuster y Kaufman 2021). La mayoría son designaciones meramente honoríficas, con protección legal delegada a las leyes locales o como parte de otra legislación patrimonial. En el impulso hacia la integración de la cultura de la naturaleza en el Patrimonio Mundial y los paisajes culturales en general, es necesario colocar el valor cultural de los árboles en pie de igualdad con sus valores ecológicos. Este documento explorará los cambios en las políticas y los enfoques de la documentación y la protección que deben ocurrir para que se realice la paridad naturaleza-cultura.
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    Contributions to the debate on the revision of the concept of cultural landscape: ICOMOS BRAZIL’s National Scientific Committee
    Adams, Betina; Cury, Isabelle; Figueiredo, Vanessa Gayego Bello; Hoyuela Jayo, Jose Antonio; Lage, Laura Beatriz; Olender, Marcos; Schlee, Mônica Bahia; Winter Ribeiro, Rafael
    The concept of landscape is polysemic and transdisciplinary, a basic condition for the recognition, planning and management of cultural landscapes, with a view to their integrated, shared and sustainable preservation. The recent extensions of the concept of cultural heritage have brought with them a breadth, diversity and complexity that prove to be counter-hegemonic, demanding greater participation and socio-cultural integration. The construction of the concept of cultural landscape has had in Brazil important thinkers, Charters and Regulations such as the "Chancela del Landscape Cultural", the "Portaria 375" or the Federal Constitution itself, in addition to various local initiatives and the declaration as World Heritage Sites of places like Rio, Pampulha or Paraty. The Constitution in its article 216 establishes as Brazilian cultural heritage "tangible and intangible assets", highlighting that they must be taken not only individually but "as a whole." Considering the conceptual revision in debate, the Brazilian committee reaffirms PRINCIPLES for a new approach and application of the concept of Cultural Landscape. The EPISTEMOLOGICAL ADVANCE makes us consider the systemic and complex character and its relationships, interactions, meanings, and interpretations. MAN - NATURE INTERACTION must be expressed through society. The DIVERSITY OF OBJECTIVES AND THEMES, built by groups associated with cultural practices and places, are considered true palimpsests. TERRITORIES AND TERRITORIAL SYSTEMS characterize the locus, sharing ecological or cultural functions and processes. SUSTAINABLE DEVELOPMENT integrates conservation, requalification, and protection actions, considering an INTEGRAL AND INTEGRATED APPROACH to the landscape in its MATERIAL, INTANGIBLE AND NATURAL DIMENSIONS. The DYNAMICITY and evolutionary character of cultural landscapes implies the recognition of their TRANSFORMATIONS and their PUBLIC INTEREST, harmonizing public-private interactions, and the need for INTEGRATED, SHARED AND PARTICIPATORY MANAGEMENT. The Landscape is a fundamental piece to incorporate the Cultural Heritage in the policies of development and protection of the territory. Français: Le concept de paysage est polysémique et transdisciplinaire, condition de base pour la reconnaissance, l'aménagement et la gestion des paysages culturels, en vue de leur préservation intégrée, partagée et durable. Les extensions récentes du concept de patrimoine culturel ont apporté avec elles une ampleur, une diversité et une complexité qui s'avèrent contre-hégémoniques, exigeant une plus grande participation et une intégration socioculturelle. La construction du concept de paysage culturel a eu au Brésil d'importants penseurs, Lettres et Règlements tels que la "Chancela del Landscape Cultural", la "Portaria 375" ou la Constitution fédérale elle-même, en plus de diverses initiatives locales et de la déclaration, PatrimoineMundial, de lieux comme Rio, Pampulha ou Paraty. L'article 216 de la Constitution établit comme patrimoine culturel brésilien les « biens corporels et immatériels », soulignant qu'ils doivent être pris non seulement individuellement mais « dans son ensemble ». Face à cette révision conceptuelle, le comité brésilien réaffirme les PRINCIPES d'une nouvelle approche et application du concept de paysage culturel. L'AVANCE ÉPISTEMOLOGIQUE nous fait considérer le caractère systémique et complexe et ses relations, interactions, significations et interprétations. L'INTERACTION HOMME - NATURE doit s'exprimer à travers la société dans son ensemble. La DIVERSITÉ DES OBJECTIFS ET DES THÈMES, construits par des groupes associés à des pratiques et des lieux culturels, sont considérés comme de véritables palimpsestes. TERRITOIRES ET SYSTÈMES TERRITORIAUX caractérisent le locus, partageant des fonctions et des processus écologiques ou culturels. LE DÉVELOPPEMENT DURABLE intègre des actions de conservation, de requalification et de protection, en considérant une APPROCHE INTÉGRÉE ET INTÉGRÉE du paysage dans ses DIMENSIONS MATÉRIELLES, IMMATÉRIELLES ET NATURELLES. La DYNAMICITÉ et le caractère évolutif des paysages culturels impliquent la reconnaissance de leurs TRANSFORMATIONS et de leur INTÉRÊT PUBLIC, harmonisant les interactions public-privé, et la nécessité d'une GESTION INTÉGRÉE, PARTAGÉE ET PARTICIPATIVE. Le Paysage est une pièce fondamentale pour intégrer le Patrimoine Culturel dans les politiques de développement et de protection du territoire. Español: El concepto de paisaje es polisémico y transdisciplinario, condición básica para el reconocimiento, planificación y gestión de los paisajes culturales, con miras a su preservación integrada, compartida y sostenible. Las recientes ampliaciones del concepto de patrimonio cultural han traído consigo una amplitud, diversidad y complejidad que demuestran ser contrahegemónicas, exigiendo una mayor participación e integración sociocultural. La construcción del concepto de paisaje cultural ha tenido en Brasil importantes pensadores, Cartas y Reglamentos como la “Chancela del Paisaje Cultural”, la “Portaria 375” o la propia Constitución Federal, además de diversas iniciativas locales y la declaración, Patrimonio Mundial, de sitios como Rio, Pampulha o Paraty. El artículo 216 de la Constitución establece como patrimonio cultural brasileño “los bienes de carácter material e inmaterial”, destacando que deben ser tomados no solo individualmente sino “en conjunto”. Frente a esta revisión conceptual, el comité brasileño reafirma PRINCIPIOS para un nuevo abordaje y aplicación del concepto de Paisaje Cultural. El AVANCE EPISTEMOLÓGICO nos hace considerar el carácter sistémico y complejo y sus relaciones, interacciones, significados e interpretaciones. La INTERACIÓN HOMBRE- NATURALEZA debe expresarse a través de la sociedad en conjunto. La DIVERSIDAD DE OBJETIVOS Y TEMAS, construidos por grupos asociados a prácticas culturales y lugares, se consideran verdaderos palimpsestos. TERRITORIOS Y SISTEMAS TERRITORIALES caracterizan el locus, compartiendo funciones y procesos, ecológicos o culturales. El DESARROLLO SOSTENIBLE integra conservación, acciones de recualificación y protección, considerando un ENFOQUE INTEGRAL E INTEGRADO del paisaje en sus DIMENSIONES MATERIAL, INTANGIBLE Y NATURAL. La DINAMICIDAD y el carácter evolutivo de los paisajes culturales implica el reconocimiento de sus TRANSFORMACIONES y de su INTERÉS PÚBLICO, armonizando las interacciones público–privado, y la necesidad de una GESTIÓN INTEGRADA, COMPARTIDA Y PARTICIPATIVA. El Paisaje se constituye en pieza fundamental para incorporar el Patrimonio Cultural en las políticas de desarrollo y protección del territorio.
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    Recommendation on the Historic Urban Landscape, the New Urban Agenda and Cultural Landscapes. Looking at concepts and vocabulary
    Tournoux, Marie-Noël
    The Recommendation on the Historic Urban Landscape (HUL), adopted in 2011, updates UNESCO's international instruments by emphasizing the links between conservation and sustainable development. It was developed following the boom in conservation issues in urban World Heritage properties or in properties in urban contexts from the 2000s, particularly in historic centers. Its principle is to pursue the proposals made in the 1976 Nairobi Recommendation and other normative instruments concerning heritage conservation by extending it to the concept of territory and landscape while emphasizing the importance of taking people into account and the concept of quality of life. Its originality also lies in the idea of doing away with the opposition between conservation and development and of promoting an integrated approach. HUL is in line with the ideas of the Sustainable Development Goals, which give culture and heritage a crucial transversal role. The term landscape is to be understood in the geographical sense of the term, as a territory taking into account the interaction of humans with their cultural and natural environment and not only as an aesthetic landscape, even if the concept of visual urban landscape or symbolic landscape is important. Developed in response to a specific time and context centered on urban conservation issues, HUL does not seem to integrate cultural landscapes. However, by taking into account the notion of a wider setting it can be said that HUL considers cultural landscapes. This is all the more true as over the years, reflection at the international level on the implementation of the HUL approach increasingly takes into account the hinterland, the peri-urban territory of cities and the city and its wider landscape relationship. Français: La Recommandation concernant le paysage urbain historique (PUH), adoptée en 2011 vient mettre à jour les instruments internationaux de l’UNESCO en mettant l’accent sur les liens entre conservation et développement durable. Elle a été élaborée suite au boom des problèmes de conservation dans les biens du patrimoine mondial urbains ou dans des biens dans des contextes urbains à partir des années 2000, en particuliers dans les centres historiques Son principe est de poursuivre les propositions élaborées dans la Recommandation dite de Nairobi de 1976 et autres instruments normatifs concernant la conservation du patrimoine en l’élargissant à la notion de territoire et de paysage tout en accentuant l’importance de la prise en compte des populations et de la notion de qualité de vie. Sont originalité tient aussi dans l’idée d’en finir avec l’opposition entre conservation et développement et de promouvoir une démarche intégrée. PUH s’inscrit dans les idées des Objectifs du Développement Durable qui donne à la culture et au patrimoine un rôle transversal crucial. Le terme de paysage est à comprendre au sens géographique du terme, comme territoire prenant en compte l’interaction de l’humain avec son environnement culturel et naturel et non pas seulement comme un paysage esthétique, quand bien même la notion de paysage urbain visuel ou symbolique est importante. Elaborée en réponse à un moment et un contexte précis centrée sur des enjeux de conservation urbaine, PUH semble ne pas intégrer les paysages culturels. Or dans l’esprit de la prise en compte de la notion de territoire élargi on peut affirmer que HUL considère les paysages culturels. Ceci est d’autant plus vrai qu’au fil des ans, la réflexion au niveau internationale, sur la mise en œuvre de l’approche PUH prend en compte de plus en plus le hinterland, le territoire périurbain des villes et la relation ville/territoire. Español: La Recomendación sobre el Paisaje Urbano Histórico (PUH), adoptada en 2011, actualiza los instrumentos internacionales de la UNESCO al enfatizar los vínculos entre la conservación y el desarrollo sostenible. Se desarrolló tras el auge de las cuestiones de conservación en los bienes del Patrimonio Mundial urbano o en los bienes en contextos urbanos a partir de la década de 2000, particularmente en los centros históricos. Su principio es dar seguimiento a las propuestas formuladas en la denominada Recomendación de Nairobi del 1976 y otros instrumentos normativos sobre conservación del patrimonio extendiéndolo al concepto de territorio y paisaje al tiempo que enfatiza la importancia de tener en cuenta a las poblaciones. Y el concepto de calidad de vida. Su originalidad radica también en la idea de eliminar la oposición entre conservación y desarrollo y promover un enfoque integrado. PUH está en línea con las ideas de los Objetivos de Desarrollo Sostenible que otorgan a la cultura y el patrimonio un papel transversal crucial. El término paisaje debe entenderse en el sentido geográfico del término, como un territorio que tiene en cuenta la interacción del ser humano con su entorno cultural y natural y no solo como un paisaje estético, incluso si el concepto de paisaje urbano visual o simbólico es importante. Desarrollado en respuesta a un tiempo y contexto específicos centrados en temas de conservación urbana, PUH no parece integrar paisajes culturales. Sin embargo, con el ánimo de tener en cuenta la noción de territorio ampliado, se puede decir que HUL considera paisajes culturales. Esto es tanto más cierto cuanto que a lo largo de los años, la reflexión a nivel internacional sobre la implementación del enfoque PUH tiene cada vez más en cuenta el hinterland, el territorio periurbano de las ciudades y la relación ciudad / territorio.
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    The Evolution of Conserving Cultural Landscapes in Canada: Paralleling the ISCCL
    Zvonar, John
    In the 1960s, the discipline of Heritage Conservation originated with the period restoration of the Fortress of Louisbourg in Nova Scotia. This work spawned the Restoration Services Division of Parks Canada. As a student, I learned of the meticulous restoration of the landscape of Motherwell Homestead in Saskatchewan, in the spirit of the Florence Charter whose mantra was ‘garden as monument’. While educated in the various treatments – whether preservation, period restoration or rehabilitation (aka adaptive re-use) – it seemed that no one was yet talking about heritage values in the 1980s. About that time, Parks Canada had released its CRM Policy so to better manage its heritage sites with a focus on protection and presentation. This approach guided the consideration and master planning of Parliament Hill in the 1990s which also marked an overdue movement away from looking at ‘buildings on their footprints’ and marked the advent of the era of Cultural Landscapes of National Significance. And since the 9/11 reality which spawned an emphasis on security, we here now focus and privilege multiple values, i.e. respect the evolution of a historic place and the ‘resonance of a multitude of voices therein. This nation’s seminal Standards and Guidelines for the Conservation of Historic Places in Canada launched 20 years ago now with a landscape section that took a ‘site planning 101’ approach; its second edition now steadfastly includes sustainable development considerations relevant in concert with the existential threat of climate change, global warming and the like. The pan-Canadian publication also emphasizes traditional practices, timely give our own grappling (reckoning?) with matters of Truth and Reconciliation vis-à-vis our First Peoples. And finally, one of the more challenging aspects of conserving and enhancing Parliament Hill for future generations is to consider it as an Indigenous Cultural Landscape, a long way from those early ‘gardens as monuments’ days. Français : Dans les années 1960, la discipline de la conservation du patrimoine est née de la restauration d'époque de la forteresse de Louisbourg en Nouvelle-Écosse. Ce travail a donné naissance à la Division des services de restauration de Parcs Canada. En tant qu'étudiant, j'ai appris la restauration méticuleuse du paysage de Motherwell Homestead en Saskatchewan, dans l'esprit de la Charte de Florence dont le mantra était « jardin comme monument ». Bien qu'éduqué aux différents traitements – qu'il s'agisse de préservation, de restauration d'époque ou de réhabilitation (alias réutilisation adaptative) – il semblait que personne ne parlait encore de valeurs patrimoniales dans les années 1980. À peu près à cette époque, Parcs Canada avait publié sa politique de GRC afin de mieux gérer ses sites patrimoniaux en mettant l'accent sur la protection et la mise en valeur. Cette approche a guidé l'examen et la planification principale de la Colline du Parlement dans les années 1990, ce qui a également marqué un abandon tardif de l'examen des « bâtiments sur leurs empreintes » et a marqué l'avènement de l'ère des paysages culturels d'importance nationale. Et depuis la réalité du 11 septembre qui a donné lieu à une insistance sur la sécurité, nous nous concentrons ici maintenant et privilégions de multiples valeurs, c'est-à-dire respecter l'évolution d'un lieu historique et la « résonance d'une multitude de voix en son sein ». Les normes et lignes directrices fondamentales de ce pays pour la conservation des lieux patrimoniaux au Canada ont été lancées il y a 20 ans maintenant avec une section sur le paysage qui a adopté une approche de « planification de site 101 » ; sa deuxième édition inclut désormais résolument des considérations de développement durable pertinentes de concert avec la menace existentielle du changement climatique, du réchauffement climatique, etc. La publication pancanadienne met également l'accent sur les pratiques traditionnelles, à propos de notre propre lutte (compte rendu?) Et enfin, l'un des aspects les plus difficiles de la conservation et de l'amélioration de la Colline du Parlement pour les générations futures est de la considérer comme un paysage culturel autochtone, bien loin de ces premiers jours de « jardins en tant que monuments ». Español: En la década de 1960, la disciplina de la conservación del patrimonio se originó con la restauración del período de la Fortaleza de Louisbourg en Nueva Escocia. Este trabajo dio lugar a la División de Servicios de Restauración de Parks Canada. Como estudiante, aprendí de la meticulosa restauración del paisaje de Motherwell Homestead en Saskatchewan, en el espíritu de la Carta de Florencia cuyo mantra era "jardín como monumento". Aunque se educó en los diversos tratamientos, ya sea la preservación, la restauración del período o la rehabilitación (también conocida como reutilización adaptativa), parecía que nadie hablaba todavía de los valores patrimoniales en la década de 1980. En ese momento, Parks Canada había publicado su Política de CRM para administrar mejor sus sitios patrimoniales con un enfoque en la protección y la presentación. Este enfoque guió la consideración y la planificación maestra de Parliament Hill en la década de 1990, que también marcó un movimiento atrasado para dejar de mirar "los edificios en sus huellas" y marcó el advenimiento de la era de los Paisajes Culturales de Importancia Nacional. Y desde la realidad del 11 de septiembre que generó un énfasis en la seguridad, aquí ahora enfocamos y privilegiamos múltiples valores, es decir, respetamos la evolución de un lugar histórico y la "resonancia de una multitud de voces en él". Los estándares y pautas fundamentales de esta nación para la conservación de lugares históricos en Canadá se lanzaron hace 20 años con una sección de paisaje que adoptó un enfoque de "planificación de sitios 101"; su segunda edición ahora incluye firmemente consideraciones de desarrollo sostenible relevantes en concierto con la amenaza existencial del cambio climático, el calentamiento global y similares. La publicación pancanadiense también enfatiza las prácticas tradicionales, dar oportunamente nuestra propia lucha (¿ajuste de cuentas?) Con asuntos de Verdad y Reconciliación vis-à-vis nuestros Primeros Pueblos. Y finalmente, uno de los aspectos más desafiantes de la conservación y mejora de Parliament Hill para las generaciones futuras es considerarlo como un paisaje cultural indígena, muy lejos de aquellos primeros días de los "jardines como monumentos".
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    Influence of the evolution of cultural landscapes as heritage on 20th century international heritage preservation doctrine
    Goetcheus, Cari; Mitchell, Nora J
    The Athens and Venice charters are generally considered the philosophical foundation of modern heritage preservation. Throughout the 20th century, preservation practitioners have continually debated these early doctrines, especially as they’ve been applied to increasingly diverse places in ever-changing social contexts. As important shifts in heritage preservation theory have evolved, a broad range of values have extended the definition of cultural heritage from monument-specific sites to larger landscapes, from local to regional and national scales, from expert to traditional knowledge, and from static cultural fabric to dynamic ecological processes. This paper argues that the recognition and development of cultural landscapes as valued heritage has been an important influence on the evolution of both broad values of heritage and conservation approaches included in international doctrine. Examination of the 1972 World Heritage Convention, 1979 Burra Charter, 1982 Florence Charter, and the 1994 Nara Document on Authenticity demonstrates that the emergence of cultural landscape assessment and conservation practices have influenced contemporary heritage doctrine to move beyond early preservation philosophy. Inclusion of cultural landscapes in international, national and local instruments and policies has shaped a concept of heritage that has become increasingly dynamic, inclusive, and reliant on local and Indigenous leadership, governance, and traditional knowledge systems and institutions. Successful preservation of cultural landscapes recognizes the interplay of tangible and intangible heritage and the dynamic interlinked relationship between nature and culture. Sustaining the values and authenticity of cultural landscapes over time requires changes in conservation practice that negotiates a delicate balance between continuity and change, and addresses the sustainability of social, cultural, and economic processes. These shifts in international heritage doctrine, in response to recognition of cultural landscapes, have begun to create a more inclusive and expansive view of heritage values and conservation. Français : Les chartes d'Athènes et de Venise sont généralement considérées comme le fondement philosophique de la préservation du patrimoine moderne. Tout au long du 20e siècle, les praticiens de la préservation ont continuellement débattu de ces premières doctrines, d'autant plus qu'elles ont été appliquées à des endroits de plus en plus divers dans des contextes sociaux en constante évolution. Au fur et à mesure que d'importants changements dans la théorie de la préservation du patrimoine ont évolué, un large éventail de valeurs a étendu la définition du patrimoine culturel des sites spécifiques aux monuments à des paysages plus vastes, des échelles locales aux échelles régionales et nationales, des connaissances expertes aux connaissances traditionnelles, et du tissu culturel statique aux processus écologiques dynamiques. Cet article soutient que la reconnaissance et le développement des paysages culturels en tant que patrimoine valorisé ont eu une influence importante sur l'évolution à la fois des valeurs générales du patrimoine et des approches de conservation incluses dans la doctrine internationale. L'examen de la Convention du patrimoine mondial de 1972, de la Charte de Burra de 1979, de la Charte de Florence de 1982 et du Document de Nara sur l'authenticité de 1994 démontre que l'émergence des pratiques d'évaluation et de conservation des paysages culturels a influencé la doctrine contemporaine du patrimoine pour aller au-delà de la philosophie de préservation initiale. L'inclusion des paysages culturels dans les instruments et politiques internationaux, nationaux et locaux a façonné un concept de patrimoine qui est devenu de plus en plus dynamique, inclusif et dépendant du leadership local et autochtone, de la gouvernance et des systèmes et institutions de connaissances traditionnelles. La préservation réussie des paysages culturels reconnaît l'interaction du patrimoine matériel et immatériel et la relation dynamique et imbriquée entre la nature et la culture. Le maintien des valeurs et de l'authenticité des paysages culturels au fil du temps nécessite des changements dans les pratiques de conservation qui négocient un équilibre délicat entre continuité et changement, et aborde la durabilité des processus sociaux, culturels et économiques. Ces changements dans la doctrine du patrimoine international, en réponse à la reconnaissance des paysages culturels, ont commencé à créer une vision plus inclusive et plus large des valeurs et de la conservation du patrimoine. Español: Las cartas de Atenas y Venecia generalmente se consideran la base filosófica de la preservación del patrimonio moderno. A lo largo del siglo XX, los profesionales de la preservación han debatido continuamente estas primeras doctrinas, especialmente porque se han aplicado a lugares cada vez más diversos en contextos sociales en constante cambio. A medida que han evolucionado importantes cambios en la teoría de la preservación del patrimonio, una amplia gama de valores ha ampliado la definición de patrimonio cultural de sitios específicos de monumentos a paisajes más amplios, de escalas local a regional y nacional, de conocimiento experto a conocimiento tradicional y de tejido cultural estático. a los procesos ecológicos dinámicos. Este artículo sostiene que el reconocimiento y desarrollo de los paisajes culturales como patrimonio valioso ha sido una influencia importante en la evolución de los valores generales del patrimonio y los enfoques de conservación incluidos en la doctrina internacional. El examen de la Convención del Patrimonio Mundial de 1972, la Carta de Burra de 1979, la Carta de Florencia de 1982 y el Documento de Nara sobre autenticidad de 1994 demuestra que el surgimiento de la evaluación del paisaje cultural y las prácticas de conservación han influido en la doctrina del patrimonio contemporáneo para ir más allá de la filosofía de la preservación temprana. La inclusión de paisajes culturales en los instrumentos y políticas internacionales, nacionales y locales ha dado forma a un concepto de patrimonio que se ha vuelto cada vez más dinámico, inclusivo y dependiente del liderazgo local e indígena, la gobernanza y los sistemas e instituciones de conocimiento tradicional. La preservación exitosa de los paisajes culturales reconoce la interacción del patrimonio tangible e inmaterial y la relación dinámica e interconectada entre la naturaleza y la cultura. Mantener los valores y la autenticidad de los paisajes culturales a lo largo del tiempo requiere cambios en la práctica de conservación que negocia un delicado equilibrio entre la continuidad y el cambio, y aborda la sostenibilidad de los procesos sociales, culturales y económicos. Estos cambios en la doctrina del patrimonio internacional, en respuesta al reconocimiento de los paisajes culturales, han comenzado a crear una visión más inclusiva y expansiva de los valores y la conservación del patrimonio.
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    Refreshing ‘Cultural Landscapes’ - ISCCL Global Dialogue 30 Years Later
    Jacques, David; ODonnell, Patricia
    Until 1992 none of the UNESCO criteria for World Heritage allowed specifically for landscapes shaped by humanity. Following on about a decade of dialogue, at the World Heritage Committee meeting in Santa Fe, New Mexico, USA, the States Parties agreed to add definitions and types of ‘cultural landscapes’ to the World Heritage Operational Guidelines. The formulation of ‘cultural landscapes’ at that time has proved to be largely robust, though inevitably, after nearly 30 years, with a wider range of experts involved and topics covered, a retrospective study seeks to explore potential clarifications and adjustments from diverse global viewpoints. The ISCCL World Heritage Cultural Landscapes Working Group is thus looking again at the concept, definitions and terminology of ‘cultural landscapes’ to potentially make refinements toward achieving a formulation that incorporates current understandings, cultural contexts and concerns. A number of papers have been generated to explore these issues, and the feedback has been productive. In considering definitions, suggestions came in a broad range, many reflecting the viewpoints of particular professional or ideological positions. For example, those connected to IUCN might offer ideas of ‘co-evolution’ of culture and nature, whilst several countries emphasise that cultural landscapes are one means to recognise the diverse identities of their inhabitants. The challenge, then, is to offer a broad umbrella definition that accommodates this diversity, and yet is still meaningful. It was suggested that such a definition would make clear that a cultural landscape will be an actual place, yet one that may be perceived in a myriad of possible ways. One of the main difficulties in achieving a consistent terminology is the diversity of ways of expressing the relationship between human culture and the natural world. A paper on terminology sought to tease out more precise expressions than ‘biocultural’ in an endeavour to find nouns and verbs that suggest the perceived nature of the relationship. A third paper, on ‘scope’, identifies a number of issues that could be addressed through the work of the group. For example, the underrepresentation of public parks, the anomaly of aesthetic values of landscapes being classed as ‘natural’, and the connections to Intangible cultural heritage, perceptions and beliefs of indigenous peoples, and climate change action and justice. Another is the contribution that the discipline of cultural landscapes, with its unique understanding of how culture, natural factors and design interact, might make to developing solutions for arresting and controlling climate change. Feedback is sought on the thoughts in each paper before a unified report is composed, and versions in French, Spanish, etc., that reflect the meanings and nuances of those languages will be desirable. There is much work to do yet in this exploration. The ICOMOS IFLA ISCCL as the international scientific committee addressing cultural landscapes can be effective in bringing this dialogue forward. The brief presentation will explore some of nuances that have been revealed in gathering viewpoints after nearly 30 years of practice and from the ISCCL global community. Français : Jusqu'en 1992, aucun des critères de l'UNESCO pour le patrimoine mondial n'autorisait spécifiquement les paysages façonnés par l'humanité. Après environ une décennie de dialogue, lors de la réunion du Comité du patrimoine mondial à Santa Fe, Nouveau-Mexique, États-Unis, les États parties ont convenu d'ajouter des définitions et des types de « paysages culturels » aux Orientations du patrimoine mondial. La formulation de « paysages culturels » à cette époque s'est avérée largement robuste, bien qu'inévitablement, après près de 30 ans, avec un plus large éventail d'experts impliqués et de sujets couverts, une étude rétrospective cherche à explorer les clarifications et ajustements potentiels à partir de divers points de vue mondiaux. . Le groupe de travail de l'ISCCL sur les paysages culturels du patrimoine mondial examine donc à nouveau le concept, les définitions et la terminologie des « paysages culturels » pour éventuellement apporter des améliorations en vue d'obtenir une formulation qui intègre les compréhensions, les contextes culturels et les préoccupations actuels. Un certain nombre d'articles ont été produits pour explorer ces questions, et les commentaires ont été productifs. Lors de l'examen des définitions, les suggestions sont venues dans un large éventail, beaucoup reflétant les points de vue de positions professionnelles ou idéologiques particulières. Par exemple, ceux liés à l'UICN pourraient proposer des idées de « co-évolution » de la culture et de la nature, tandis que plusieurs pays soulignent que les paysages culturels sont un moyen de reconnaître les identités diverses de leurs habitants. Le défi est donc d'offrir une définition générique large qui s'adapte à cette diversité, tout en étant toujours significative. Il a été suggéré qu'une telle définition indiquerait clairement qu'un paysage culturel sera un lieu réel, mais qui peut être perçu d'une myriade de façons possibles. L'une des principales difficultés pour parvenir à une terminologie cohérente est la diversité des façons d'exprimer la relation entre la culture humaine et le monde naturel. Un article sur la terminologie a cherché à démêler des expressions plus précises que « bioculturelles » dans un effort pour trouver des noms et des verbes qui suggèrent la nature perçue de la relation. Un troisième document, sur la « portée », identifie un certain nombre de questions qui pourraient être abordées grâce au travail du groupe. Par exemple, la sous-représentation des parcs publics, l'anomalie des valeurs esthétiques des paysages classés comme « naturels », et les liens avec le patrimoine culturel immatériel, les perceptions et les croyances des peuples autochtones, et l'action et la justice en matière de changement climatique. Un autre est la contribution que la discipline des paysages culturels, avec sa compréhension unique de la façon dont la culture, les facteurs naturels et la conception interagissent, pourrait apporter au développement de solutions pour arrêter et contrôler le changement climatique. Des commentaires sont demandés sur les réflexions de chaque article avant la rédaction d'un rapport unifié, et des versions en français, espagnol, etc., qui reflètent les significations et les nuances de ces langues seront souhaitables. Il y a encore beaucoup de travail à faire dans cette exploration. L'ICOMOS IFLA ISCCL en tant que comité scientifique international traitant des paysages culturels peut être efficace pour faire avancer ce dialogue. La brève présentation explorera certaines des nuances qui ont été révélées en recueillant des points de vue après près de 30 ans de pratique et de la communauté mondiale de l'ISCCL. Español: Hasta 1992, ninguno de los criterios de la UNESCO para el Patrimonio Mundial permitía específicamente los paisajes moldeados por la humanidad. Tras aproximadamente una década de diálogo, en la reunión del Comité del Patrimonio Mundial en Santa Fe, Nuevo México, EE. UU., Los Estados Partes acordaron agregar definiciones y tipos de "paisajes culturales" a las Directrices operativas del Patrimonio Mundial. La formulación de 'paisajes culturales' en ese momento ha demostrado ser en gran medida sólida, aunque inevitablemente, después de casi 30 años, con una gama más amplia de expertos involucrados y temas cubiertos, un estudio retrospectivo busca explorar posibles aclaraciones y ajustes desde diversos puntos de vista globales. . El Grupo de Trabajo de Paisajes Culturales del Patrimonio Mundial del ISCCL está examinando nuevamente el concepto, las definiciones y la terminología de los "paisajes culturales" para hacer posibles refinamientos hacia el logro de una formulación que incorpore los conocimientos, los contextos culturales y las preocupaciones actuales. Se han elaborado varios artículos para explorar estos temas y la retroalimentación ha sido productiva. Al considerar las definiciones, las sugerencias llegaron en una amplia gama, muchas de las cuales reflejan los puntos de vista de posiciones profesionales o ideológicas particulares. Por ejemplo, aquellos conectados a la UICN pueden ofrecer ideas de "coevolución" de la cultura y la naturaleza, mientras que varios países enfatizan que los paisajes culturales son un medio para reconocer las diversas identidades de sus habitantes. El desafío, entonces, es ofrecer una definición general amplia que se adapte a esta diversidad y, sin embargo, sea significativa. Se sugirió que tal definición dejaría en claro que un paisaje cultural será un lugar real, pero que se puede percibir de muchas maneras posibles. Una de las principales dificultades para lograr una terminología coherente es la diversidad de formas de expresar la relación entre la cultura humana y el mundo natural. Un artículo sobre terminología buscó desentrañar expresiones más precisas que "biocultural" en un esfuerzo por encontrar sustantivos y verbos que sugieran la naturaleza percibida de la relación. Un tercer documento, sobre "alcance", identifica una serie de cuestiones que podrían abordarse a través del trabajo del grupo. Por ejemplo, la subrepresentación de los parques públicos, la anomalía de los valores estéticos de los paisajes clasificados como "naturales" y las conexiones con el patrimonio cultural inmaterial, las percepciones y creencias de los pueblos indígenas y la acción y la justicia del cambio climático. Otra es la contribución que la disciplina de los paisajes culturales, con su comprensión única de cómo interactúan la cultura, los factores naturales y el diseño, podría hacer al desarrollo de soluciones para detener y controlar el cambio climático. Se solicita la retroalimentación sobre las ideas de cada documento antes de redactar un informe unificado, y será deseable versiones en francés, español, etc., que reflejen los significados y matices de esos idiomas. Aún queda mucho trabajo por hacer en esta exploración. El ICOMOS IFLA ISCCL, como comité científico internacional que se ocupa de los paisajes culturales, puede ser eficaz para llevar adelante este diálogo. La breve presentación explorará algunos de los matices que se han revelado en la recopilación de puntos de vista después de casi 30 años de práctica y de la comunidad global de ISCCL.